2ème Bulletin 2007
Clin d'œil sur les justes relations humaines - La reconstruction
politique
En politique
on vit plusieurs revirements dû à l’influence
du 7ième rayon, (L’ordre et la Réorganisation)
et tout ce qui est du type conservateur est appelé à
disparaître pour reconstruire le renouveau.
Les gens ne veulent pas s’encastrer dans un système
où ils ont l’impression de tourner en rond. Ils veulent
avancer. Pour l’instant ils ignorent leur enlignement et la
direction qu’ils doivent prendre. Ils sont au stade «
d’essaie et erreur ». Mais une chose est sûre,
c’est qu’ils veulent du nouveau.
Lorsqu’un parti politique est trop ancré dans des
valeurs conservatrices qui ne s’appliquent plus pour une société
grandissante dans le renouveau, il est appelé à disparaître
pour former un nouveau parti politique qui répondra mieux
aux exigences du peuple.
Cependant, avant la dissolution d’un parti, on essaie souvent
de coller les pièces pour refaire le casse-tête, mais
on s’aperçoit qu’avec le temps, les pièces
du puzzle ne sont plus uniformes et il devient très difficile
de les emboîter afin de bâtir un puzzle nouveau.
Alors il s’installe une division entre les partisans et les
leaders et les stratèges du parti en question. On pense qu’en
blâmant les chefs de partie ou même en changeant de
chef, le problème sera réglé. Mais on a vite
oublié que le chef est élu ou parachuté par
le parti lui-même. Il est plus facile de blâmer un chef,
que de prendre conscience que le parti lui-même « a
fais son temps », parce que les idées véhiculées
par ce parti n’ayant pas évoluées, elles sont
devenues dépassées et ne coïncident plus avec
les conditions de vie et la compréhension de l’opinion
publique qui elles évoluent (peut-être) lentement mais
continuellement…
Nous ne travaillons plus dans notre ère vers une division
d’un peuple. Mais nous travaillons à garder notre identité
tout en devenant des collaborateurs avec les autres.
Donc tout ce qui touche la division n’a plus sa raison d’être…nous
devons développer un mode de vie de reconstruction vers une
unité car c’est cela que la population veut.
On démontre également que même si on ne veut
pas se faire dicter notre conduite pour devenir conforme à
la masse et que nous voulons garder notre différence, c’est
maintenant possible. Alors il n’y a pas de raison évidente
qui pousse maintenant les citoyens à vouloir se diviser entre
eux.
On cherche des solutions pour faire avancer les gens pour qu’un
plus grand équilibre s’installe. Ceux qui conservent
les valeurs rétro de diviser et de critiquer seulement par
rapport à la différence, sont nettement en minorité.
C’est pourquoi l’électorat veut du changement
dans les partis politique. L’électorat indique aussi
que les partis qui ne le satisfont plus n’ont plus raison
d’être à moins d’adapter leur option à
la volonté de la majorité de la population. Mais cela
pourrait être interprété comme si le parti décide
de changer mais pour demeurer au pouvoir. Ce n’est sûrement
pas la façon dont un parti veut être perçu.
L’idéal est de dissoudre ce parti car il ne répond
plus au critère du peuple. Et c’est alors qu’il
se forme un nouveau parti pour le remplacer, qui va répondre
aux demandes de la masse et les amener vers le renouveau.
Mais cela prend du temps car quand on possède le pouvoir,
on ne veut pas le laisser aller facilement. On essaie toujours de
le récupérer dans l’espoir de ranimer la flamme.
Alors que la cause est perdue pour des années avenir.
Les gens n’accordent plus leur confiance et on voit que le
parti politique chambranle et ne tiens qu’à un fils.
Pour un peuple il n’est pas normal que le parti ne puisse
pas trouver de leader qui demeure au sein du parti assez longtemps
pour démontrer sa capacité à mener une masse.
Ceci entraîne de l’insécurité car les
gens ont besoin d’une structure gouvernementale qui se tient
debout pour les représenter et évidemment leurs amener
des avantages.
Un parti politique qui chambranle, n’attire plus la confiance
de ces citoyens et doit se reconstruire avec de nouvelles valeurs
qui répondent à la demande de la majorité populaire.
S’il persiste à demeurer dans l’ambition de
ne pas disparaître, il disparaîtra quand même
mais ce ne sera qu’une question de temps. Par contre si un
parti réussit à tirer une leçon à partir
des faits, et arrête de blâmer son chef pour le faible
résultat électoral obtenu, et commence à analyser
la situation, l’état actuel des choses en essayant
de bâtir une nouvelle approche politique adaptée à
la réalité en cours et assez éclairée
pour se doter d’une capacité de voir les prochains
changements et de s’y adapter alors il y aura un renouveau
dans ce parti. De nouvelles valeurs et les idées les accompagnants
lui permettront de bâtir un nouveau programme de parti. Si
ce parti ne le fait pas un autre le fera et sera accueilli favorablement
par la majorité prête aux changements.
Les gens n’acceptent plus de voir des politiciens tenter
d’utiliser des astuces ou ruses pour accéder ou tenter
de demeurer au pouvoir. Ils appellent cela de la tentative de manipulation…
Les gens développent de plus en plus leur autonomie et commencent
à dire non à toute manipulation politique qui a pour
but de nourrir l’égo et le pouvoir mais qui laisse
peu pour le peuple.
C’est le cœur des gens qui est directement touché
et qui commence à s’affirmer à travers leur
raison d’être. Ils le font bien, en manifestant et en
contredisant leur politicien lorsqu’ils ne sont pas d’accord…on
pratique beaucoup le droit à la parole et à la liberté
d’être.
Maintenant les groupes politique se transforment parce qu’ils
doivent s’ajuster au fait que les gens ne font plus confiance
à un leader mais plutôt à un groupe qui, plus
fort qu’un seul individu, aura plus de chances de les mener
à de véritable changements …
Et cela est difficile à comprendre. Les chefs de parti pensent
encore que les défaites où le fait d’être
minoritaire relève de la faute de la gérance par le
leader du groupe politique. Alors que la défaillance ne vient
pas du tout de ce fait. C’est que les gens commence à
s’affirmer à dire « non je ne veux pas cela »
et surtout « non nous ne voulons pas qu’un leader vienne
nous dire quoi faire » Les gens pratiquent leur autonomie
et cela déstabilise tout régime politique. Les gens
ont le net désir de se prendre en main et de récupérer
leur pouvoir.
C’est pourquoi la politique doit également changer
le fait d’avantager le matérialiste au profit des relations
sociale ou des causes sociale.
Les politiciens doivent prendre en considération que le
peuple peut provoquer des revirements très important et qu’ils
ne peuvent plus le contrôler comme auparavant.
N’oublions pas qu’au Canada, il y a deux gouvernements
minoritaires
Et cela risque de se répéter encore.
Les citoyens ne veulent plus de gens de pouvoir et ils s’arrangent
pour faire respecter leur droit en élisant leur gouvernement
en minorité.
Et leur affirmation face au pouvoir est très forte. Comme
au Québec, l’imposition de la privatisation du plus
beau centre de ski du Québec, on choqué les gens,
et ils ont dit non et se souviennent des autres gouvernement qui
ont vendu de très beau lac au USA et maintenant ils disent
non…C’est à nous et le font savoir.
Le tampon que tente de faire le gouvernement actuel pour réparer
cet affront est encore un genre de manipulation et les Québécois
ne sentent pas la sincérité de ce parti.
Mais ils sont confrontés à des choix…ils ne
peuvent plus faire confiance au parti Québécois qui
les représentaient, et ils ne peuvent pas encore faire confiance
à l’ADQ faute de preuve d’un bon leadership.
Comme ils n’ont pas encore expérimenté le pouvoir,
les gens doivent étudier la situation.
C’est la question que les gens se posent. De quelque façon,
un gouvernement minoritaire fait bien l’affaire et est même
souhaitable pour l’instauration du renouveau qui prend naturellement
place lentement.
Les Québécois sont des créateurs de nature
et ne veulent pas être représentés ou soumis
par des leaders conservateurs et rétro.
Il ne faut pas accuser Mr Boisclair d’être responsable
de la défaite électorale mais c’est le fait
des nombreux changements de chef qui a été la source
du manque de confiance de la part du peuple.
Lorsque les citoyens on voté un gouvernement minoritaire
c’est qu’ils ont compris que c’était leur
force pour dire au gouvernement qu’ils souhaitent du changement.
Les Québécois savent ce qu’ils veulent et ils
ont besoin d’un leader qui a de la poigne et qui est capable
de s’affirmer et qui a fait ses preuves aussi.
Vous savez avant la création du PQ il y avait un autre partie
dont M. René Lévesque faisait partie et il a donné
sa démission parce que ses idées était bien
différentes du parti mais il n’était pas en
concordance non plus avec l’Union Nationale. Ils n’étaient
pas du tout sur la même longueur d’onde. N’oublions
pas qu’à cette époque il y avait encore un contrôle
massif par les multinationales anglophones mais c’était
un période concernant principalement les travailleurs d’usine
et une forte présence syndicale etc.
Alors comme il n’y avait pas de partie représentant
les vrais objectifs des Québécois, il y a eu la création
du PQ. Mais aujourd’hui les objectifs des Québécois
ont changé et le parti doit se conformer à ce changement
sinon il va disparaître.
Le peuple du Québec veut un pouvoir axé plus fortement
sur l’aspect social et aussi une démocratie équilibrée.
On le voit par l’égalité salariale par exemple…
Il veut entre autre, un meilleur partage du pouvoir et des ressources,
la reconnaissance de la valeur de la famille, et des avantages sociaux
pour encourager l’éducation familiale, équilibrer
les impôts aussi.
Aussi lorsque l’arrivée d’une nouvelle ère
amène du changement, il est normal, qu’en accord avec
cela, la population recherche et réclame un changement au
niveau politique. Tout parti politique qui n’est pas représentatif
de ce changement, en viendra à se dissoudre et la faute ne
sera pas celle du leader du parti, puisque la population elle-même
ne veut plus de leader qui la manipule mais veut un leader qui collabore
avec elle.
Il est souhaitable que se réalise un juste équilibre
entre le mental et le cœur. Que les valeurs du cœur prennent
leur juste place par rapport à celle que prend l’aspect
mental. Il se formera ainsi un nouvel équilibre autant social
que politique.
Travail
de Groupe, 9 mai 2007
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