1er Bulletin 2008
Clin d’œil – La journée internationale
de la femme
Cette fête prend de plus en plus de sens et devient de plus
en plus symbolique, même si elle est très récente.
À ses débuts, elle passait presque inaperçue.
Elle a d’abord été acceptée politiquement.
Le mérite de sa reconnaissance croissante en revient aux
pressions répétées des groupes féministes
d’alors qui insistaient sur la l’importance de reconnaître
cette fête.
On pensait que le fait de seulement reconnaître, accepter
et octroyer une journée par année rendrait silencieuses
les revendications des féministes à cet égard
et que cette idée serait oubliée. Mais de plus en
plus les femmes accordent une attention particulière à
cette fête. On en profite pour démontrer que malgré
cette journée, il reste encore beaucoup de femmes qui ne
sont pas encore de libres citoyennes. Aussi, il est important de
redire que la contribution que l’ensemble des femmes apporte,
par leurs activités quotidiennes dans leur propre milieu
de vie n’en constitue pas moins la moitié des activités
humaines de l’ensemble de la planète et est donc tout
aussi importante que celle des hommes.
On profite de cette occasion pour montrer au monde entier que certaines
femmes sont encore très opprimées et que l’égalité
des femmes et des hommes reste encore à faire à l’échelle
mondiale… Au fond les hommes leur laissent encore très
peu de place… Ce processus « d’égalisation
» entre la condition des femmes et celle des hommes n’en
n’est qu’à ses débuts, si l’on regarde
les faits sur le plan mondial.
L’occident a une certaine avance sur l’orient à
cet égard. Les femmes se sont battues, sans agressivité
et sans armes, pour obtenir leurs droits… Ce « combat
» a commencé par la reconnaissance du droit de vote
aux femmes. Ce qui a mené à ce qu’elles puissent
voter elles aussi c’est le fait que les femmes elles-mêmes
revendiquaient ce droit, et qu’ensuite elles ont été
secondées par la reconnaissance de ce droit par une majorité
grandissante d’hommes. L’attitude qu’ont les femmes
à vouloir être reconnues comme des citoyennes à
part entière et la reconnaissance croissante de cette aspiration
par les hommes et aussi par un nombre croissant de femmes dont ce
n’est pas le cas mais qui ont le courage d’exprimer
cette aspiration favorisent la progression de l’importance
de la place de la femme dans nos sociétés. Les femmes
jouent un rôle très important par rapport à
la famille.
Il est intéressant de souligner que la seconde guerre mondiale
a contribuée à l’élargissement du rôle
ou de la contribution des femmes dans la société.
Les hommes étant au combat, les femmes durent assurer le
soutient de la famille et participer également aux affaires
et à l’administration de la communauté. Elles
ont aussi due participer au travail et à l’activité
économique en travaillant à l’extérieur
du foyer notamment dans la fabrication d’armes et pour de
nombreux autres types d’usines…
C’est un évènement assez particulier dans l’évolution
des femmes car à cette époque, il n’était
pas question qu’une femme ait quelques responsabilités
que ce soit en dehors du milieu familial, en dehors de la maison
familiale même. Elle était confinée, qu’elle
le veuille ou non, aux tâches domestiques. Il était
alors considéré comme « normal » qu’elles
soient pratiquement non éduquées et vraiment inutile
qu’elles le soit autant que les hommes. Il en était
ainsi parce que l’éducation, et ses coûts, semblaient
inutiles pour une femme dont le rôle se résumait à
se marier, demeurer à la maison et mettre des enfants au
monde. En sous entendant, de façon surprenante, que l’éducation
semblait totalement inutile pour une personne appelée à
vivre ainsi…
Et c’est ainsi que la contribution des femmes au monde dont
elles font partie a pris son envol et est devenue grandissante…
Dans les années qui suivirent cette époque, les femmes
ont commencées à réaliser qu’elles avaient
du potentiel et qu’elles pouvaient contribuer à la
vie collective hors de leur vie familiale. C’est alors qu’elles
ont commencées à faire des démarches pour assurer
que les choses continuent ainsi. Mais à l’époque,
il y avait encore beaucoup de résistance de la part de la
gent masculine qui détenait, administrait, se servait et
parfois abusait du « pouvoir ». Mais cela n’a
pas empêché que dans les années qui suivirent,
soit vers les années 50, les femmes ont accrues le nombre
de leurs revendications. Parallèlement à cela un nombre
croissant de groupement de femmes a vu le jour et ont lutté
pour obtenir le droit de la femme d’avoir accès à
l’éducation. Ce qui a été accepté
assez rapidement par l’opinion publique, mais avant que le
processus puisse être mis en place et instauré, il
s’est passé encore quelques années…
Bien qu’un certain nombres des droits fondamentaux furent
enfin reconnus aux femmes ils n’étaient pas nécessairement
reconnus et respectés par la société en général
ni par les individus en particulier, et cela tant dans le milieu
familial que professionnel. On encourageait encore les jeunes filles
à se marier, à se placer en situation ou le mari est
le soutient de famille, et à ne pas chercher à s’éduquer…
On leur enseignait des choses très banales comme les cours
de bienséance par exemple, et comment être une bonne
hôtesse pouvant bien servir les invités et tout en
demeurant uniquement la servante du reste de la famille incluant
le mari évidemment… Le rôle « traditionnel
» qui était plus imposé qu’associé
aux femmes et qui faisait d’elle « la reine du foyer
» mais dans le sens ou elle était confinée au
foyer, et qui était le moule que le mouvement féministe
voulait casser dans le sens de mener les femmes à un plus
grand épanouissement était (ce moule) reconnu, maintenu
et transmis par l’autorité familiale (lire la partie
masculine). Les femmes qui alors osaient briser ce moule étaient
« rejetées » d’une manière ou d’une
autre. Il faut quand même dire que le fait pour une femme
de choisir de vivre au foyer et d’y assumer un grand nombre
de responsabilités qui y sont associées n’est
pas mal en soi. Ce qui est indésirable ici c’est que
les femmes soient forcées d’accomplir ces activités
domestiques seulement et systématiquement étouffées
dans leur légitime épanouissement personnel qui est
pourtant si important pour tout individu.
Mais les femmes (et leurs droits) ont évolué de plus
en plus. Et c’est ainsi que après avoir obtenues le
droit de vote, le droit à l’éducation (car il
faut dire qu’à une certaines époque l’éducation
de haut niveau était surtout réservée aux hommes)
elle ont finit par aboutir à l’acquisition des droits
légitimes concernant le travail. Les femmes n’avaient
pas accès aux mêmes postes que les hommes. Ainsi on
leur attribuaient une large gamme d’emploies mineurs et un
très faible salaire.
Ceci a fait que les femmes ont commencé à revendiquer
leur droit à l’égalité. Elles l’ont
obtenue, mais ce ne fut pas l’égalité car une
femme devait travailler plus dur qu’un homme pour prouver
qu’elle était capable d’occuper un poste traditionnellement
d’homme en plus de travailler avec et parmi les hommes. À
poste égal le salaire d’une femme était souvent
inférieur à celui d’un homme.
Par la suite les femmes ont commencé à revendiquer
leur place au niveau des hautes sphères tant de l’administration
des compagnies que du domaine politique. Ce fait est très
récent en occident où un degré minimum et acceptable
d’égalité est en place. Mais c’est récent
et encore et fragile. Hier, les femmes devaient se fondre parmi
les hommes et penser comme eux. Aujourd’hui en occident, elles
peuvent s’exprimer et parfois contribuer à faire changer
des choses importantes. Leur action commence à peine à
être reconnue dans l’humanité.
Ces succès sont principalement l’affaire de l’occident.
Dans la culture « orientale » il y a bien quelques pays
qui acceptent ou sont ouverts à la contribution sociale des
femmes mais il y a encore de l’inégalité et
un important manque de reconnaissance envers les femmes. On se sert
encore d’une surcharge de travail pour qu’elles prouvent
qu’elles sont capables d’occuper l’emploie. On
ne parle pas ici d’équité salariale. Car si
on considère l’investissement des femmes dans leur
travail, on peut calculer qu’elles travaillent en moyenne
de 60 à 70 heures semaines dans certains cas et même
plus pour d’autres mis à part leur vie familiale et
les responsabilité qu’elles y assument. Elles apportent
le travail à la maison et les heures ne sont pas comptées.
Dans certains cas, les enfants suivent les femmes dans leur travail.
On regarde en Afrique et aux Inde où les femmes ont gagné
le droit de travailler pour soutenir la famille. On les voie avec
leur enfants sur le dos et travailler dans les champs.
Même dans certains pays riches, il y a des femmes qui travaillent
un bon nombre d’heures dans leur contexte familial et qui
accordent beaucoup d’heures côté travail à
l’extérieur. Mais on n’en parle pratiquement
pas car c’est moins apparent.
Donc en résumé, la fête internationale des
femmes doit être soulignée. On oublie très souvent
la participation des femmes et leur soutien. Et même au quotidien
les femmes par le développement et la richesse de leur état
intérieur apportent beaucoup de soutien et permettent d’adoucir
certaines situations. Que ce soit dans des emploies traditionnellement
plus masculin comme dans les milieux d’interventions risquées
ou dans des milieux policiers, les femmes ont généralement
plus de succès à maîtriser des individus en
difficultés et agressifs. Dans de telles situations, elles
négocient, ne provoquent pas et évitent l’utilisation
de la force brute et installe une atmosphère d’ouverture
et non de confrontation.
Politiquement les femmes démontrent qu’elles sont
capables d’avoir du succès notamment dans le cadre
des négociations. Elles peuvent faire bouger des grosses
machines lentement mais sûrement sans trop de confrontations
et de conflits.
Il est bon à l’heure actuelle qu’on reconnaisse
de plus en plus cette journée attribuée aux femmes
afin que l’on se souvienne que l’action des femmes est
aussi importante que celles des hommes. En fait, elle est complémentaire
à celle des hommes. Ainsi, l’activité masculine
lorsque alliée et collaborant à l’activité
féminine forment avec elle une « unité complète
» et capable de plus grandes réalisations…
Il y a eu un temps où les femmes se sont battues pour avoir
leur place. La façon utilisée par les femmes diffère
de celle des hommes car les femmes ne sont pas du tout équipées
comme les hommes pour mener une guerre… Toutefois, cela n’empêche
pas qu’elles savent utiliser l’opinion publique. Cela
est leur grande force. Au fur et à mesure que les femmes
ont l’opportunité d’agir et de participer elles
démontrent leur valeur réelle et aussi révèlent
ce dont elles sont capables d’accomplir, ce qui contribue
à ce qu’elles soient reconnues comme tel du moins en
occident…
Aujourd’hui on voit le processus qui s’instaure lentement
dans divers pays. Les femmes dénoncent également la
violence qui sévit encore envers elles en certains endroits.
Elles dénoncent le fait qu’il est encore des hommes
qui préfèrent conserver une situation de domination
et de violence envers la femme et qui n’hésitent pas
à punir férocement celles qui osent exprimer leurs
aspirations pourtant légitimes à être des personnes
libres et épanouies. Ce qui se vit en ce sens en certains
endroits du globe rappelle à celles d’entre nous qui
ont connus de telles injustices et qui ont luttées pour les
enrayer de leur communauté sinon de leur vie personnelle.
Nous sommes témoins de toute les difficultés et les
« vengeances ou interventions punitives » que rencontrent
les femmes qui, les premières de leur pays, pavent la voie
de la libération pour leurs concitoyennes qui étouffent
sous l’oppression de la femme autour d’elles. Il arrive
que certaines femmes de ces pays soient menacées de mort
par les représentants et les militants de certains mouvements
traditionnels ou carrément antiféministes, non pas
du au fait qu’elle occupe un poste envié, mais parce
qu’elles incarnent pour d’autres femmes un exemple et
une voie qui indique comment réclamer et ultimement obtenir
leur liberté.
En occident, nous avons tendance à croire que les femmes
occupent les mêmes positions que les hommes et que l’égalité
règne partout. Mais, lorsque lors de la fête internationale
de la femme il nous est rappelé qu’il y a encore beaucoup
d’injustices envers les femmes, que nous ne sommes qu’au
tout début de la reconnaissance des femmes par les hommes.
Ceci signifie que ne nous sommes qu’au début de la
reconnaissance et éventuellement de la mise en place d’un
équilibre entre le masculin et le féminin. Nous réalisons
qu’il y a encore beaucoup de chemin à parcourir.
Les femmes on un pouvoir d’action dont la nature est bien
différente de celui des hommes. Elles sont à un fort
degré des êtres de cœur. Ainsi, chaque fois qu’elles
ont une opportunité d’intervenir et qu’elles
peuvent le faire librement, pouvant laisser ainsi les caractéristiques
les plus pures de leur nature profonde se frayer un chemin jusque
dans le monde extérieur si l’on peut dire, et cela
sans être brimées, rabâchées ou rabrouées
par de féroces autorités en place, alors leurs idées,
leurs émotions, leurs actions et leurs solutions contiendrons
toutes une dose d’amour véritable qui assure à
leurs interventions la caractéristique de se dérouler
dans une atmosphère de collaboration et d’ouverture
plutôt que de confrontation, de fermeture et de durcissement
stérile sur ses positions, caractéristiques masculines
(mais pas les seules) étant à la source de tant de
conflits qui pourtant n’ont jamais été, ne sont
pas et demeurent à jamais inévitables.
En occident on commence tout juste à voir l’importance
de l’amour. L’amour rends plus léger et peut
être vu et des à présent dans les petits gestes
quotidiens bien simples. L’amour permet de percevoir les choses
différemment. Il permet aussi de voir les choses sans les
compliquer inutilement avec une utilisation exagérée
de l’activité mentale. Équilibrer le mental
et le cœur en se servant des deux à la fois dans nos
entreprises.
Les femmes apportent cet équilibre et leur façon
de faire les choses plus en douce. Elles se servent de leurs capacités
intérieures pour amener les hommes vers leur équilibre.
Équilibre qui est obtenu par l’union du féminin
et du masculin et qui est perdu soit par la domination du féminin
par le masculin ou par celle du masculin par le féminin.
Alors un monde sans la présence de l’influence des
femmes deviendrait stérile et déséquilibré.
L’activité deviendrait violente, dominatrice et bientôt
exclusivement guerrière et cherchant le pouvoir absolu. Ce
serait invivable, destructeur.
Les capacités intérieures que les femmes utilisent
sont celle du cœur dont l’intuition, la perception, le
ressenti, la sensibilité, la capacité de négocier.
Comme elle peuvent percevoir, elle peuvent, par exemple, détecter
qu’il y a mieux à faire que d’utiliser la colère
pour prendre action car elles savent qu’elles vont échouer
ce faisant. Leurs capacités intérieures sont plus
développées que leurs capacités extérieures.
Il est dit que les hommes sont les bâtisseurs de l’humanité
car physiquement et psychologiquement ils vivent plus extérieurement.
Par contre les femmes vivent beaucoup plus intérieurement.
Elles prennent en considération tout ce qui se rapporte aux
relations humaines. Les conséquences des actions, la maîtrise
des gestes impulsifs aux conséquences indésirables
au plan physique ou extérieur sont des valeurs du côté
cœur… Inter relation et inter action sont aussi un potentiel
des femmes ce qui leur donne de grandes capacités de négocier
et de vivre et travailler en groupe.
Elles n’alimentent pas les peurs parce qu’elles ont
la capacité de maîtriser l’aspect émotionnel.
Elles savent comment interagir avec cela d’une façon
constructive et le font lorsqu’elles assument leur être
véritable ou expriment leur potentiel profond.
Lorsque les femmes sont bien polarisées elles sont plus
proches que l’homme du royaume spirituel dans le sens le plus
élevé. Théoriquement les femmes sont plus développées
intérieurement. Elles ont plus de capacité que les
hommes à se développer sur des plans subtils. D’ailleurs
c’est leur force car sur le plan extérieur, disons
sur le plan physique, les choses sont plus difficiles pour elles.
Mais elles ne sont pas pour autant supérieures aux hommes
car on sait que pour se développer ont doit être équilibré
pour bien appliquer ce que nous apprenons subtilement dans le concret
sous entendant que ce qui est vécu intérieurement
sur les plans subtils doit trouver son expression ou sa correspondance
jusque dans le plan physique dense, soit dans le monde extérieur.
En d’autres termes la complémentarité de l’homme
et de la femme rend possible une manifestation complète.
Tout deux ont une moitié de la valeur du tout qu’ils
sont invités à former… Et dans le sens d’une
manifestation jusque dans le monde extérieur cela explique
pourquoi les femmes commencent à se manifester de plus en
plus au sein de leur communauté.
C’est un avantage pour l’homme de comprendre la femme
dans sa structure intérieure et extérieure. Cela contribue
a mieux apprécier la dualité que l’on vie. Théoriquement
c’est le cas, mais si l’homme veut être bien avec
les femmes, il faut qu’il commence par accepter sa différence.
Ensuite il peut analyser ses comportements sa façon de penser
et en arriver à la conclusion que oui les femmes sont différentes,
mais leur contribution est aussi importante que celle des hommes.
Le développement futur de l’humanité, doit
il passer par tenir compte du développement et du respect
de l’égalité de la femme ? Aussi, pourquoi ne
pas forcer une telle chose ? Question auxquelles il est difficile
de répondre car l’humanité dans son ensemble
est libre de ses choix qu’elle le sache ou pas. Mais si on
regarde les évènements, on y voit de plus en plus
de revendications de la part des femmes. Les femmes ont également
compris que si elles veulent être reconnues par les hommes,
il ne faut pas partir une guerre avec eux. Il faut simplement faire
connaître les faits tel qu’ils sont présentement.
Il faut aussi que les femmes commencent une à une à
dire non aussi aux jeux de domination des hommes. Ainsi, par exemple
si dans un pays les femmes cautionnent la domination masculine et
acceptent de rejeter ou blâmer ou punir une femme qui s’est
rebellée dans le sens ou elle revendique son égalité
et n’accepte l’oppression ou la domination alors elles
jouent le jeu du pouvoir masculin. Elles ont une part de responsabilités
envers lesquelles elles ne peuvent se défiler. Il faut qu’elles
accordent et expriment leurs soutient aux femmes qui ne veulent
plus la domination des hommes.
Alors, comme nous sommes au début du processus, il est difficile
de prévoir la tournure des évènements. Toutefois,
l’exemple de femmes occidentales est un exemple d’acquisition
de la liberté pour les femmes qui n’en jouissent pas
encore. D’ailleurs en Asie on cherche à devenir comme
les femmes occidentales et on souffre le martyr pour leur ressembler
physiquement.
Mais l’objectif pour l’humanité c’est
d’arriver à s’équilibrer avec son contraire
et de collaborer ensemble.
Une chose est certaine c’est que la femme possède
une source inépuisable d’amour et de patience. C’est
difficile de prévoir ce qu’il en sera pour toute l’humanité.
Mais on voit qu’il y a eu une évolution du au fait
que les femmes prennent de plus en plus de place. En Orient entre
autre on n’aurait jamais pensé que des femmes puissent
accéder au pouvoir. Cela était impensable très
récemment. Toutefois il n’empêche que parfois
leurs vies peuvent être en danger suite à des actes
punitifs dont le seul but est d’empêcher leurs recherches
de liberté et d’épanouissement et de désir
de participer plus activement à la vie communautaire et sociale...
Des pas importants ont quand même été faits.
Il faut rester optimiste. Un jour cet équilibre sera atteint.
Lorsque l’homme commence à comprendre et accepter ce
fait il peut aider à mettre en place cet équilibre
en soutenant et en appuyant les femmes dans leur gestes. D’ailleurs
en occident il y a beaucoup d’hommes qui participent aux manifestations
des femmes pour les appuyer et démontrer clairement aux autres
hommes qu’ils se prononcent en faveur des femmes et envers
la cause des femmes. Ils désirent la réalisation de
la cause féminine en acceptant leur différence, leur
amour, en acceptant les contributions qu’elles donnent avec
tout leur cœur et leurs désirs de faire avancer les
choses. En acceptant de devenir des collaborateurs avec les femmes
et de travailler en toute égalité avec elles.
La journée de la fête internationale des femmes est
souvent mal soulignée. On attache beaucoup d’attention
à la fête des mères mais encore très
peu sur leur action et leur contribution sociale. On devrait se
souvenir que les femmes contribuent socialement au développement
de l’humanité. Il peut aussi être dit que les
femmes ont beaucoup de persévérance et en arrivent
à leurs réalisations de cette façon. Elles
occupent une place importante car elles sont en tant que collaboratrices
des hommes la moitié de l’humanité une.
N’oublions pas que par leur amour naturel et créatif,
elles apportent beaucoup de simplicité et d’authenticité.
Et elles permettent de trouver un coin de sagesse qui peut effacer
l’influence produite par des gestes impulsifs souvent source
de conflits et de confrontations destructives.
Une chose importante à souligner : sans les femmes il n’y
aurait pas d’humanité l’homme permet d’apporter
le germe, mais la femme engendre la vie et la développe.
Elle le fait en étant consciente que son corps va souffrir
et elle le fait librement pour agrandir la vie sur terre.
Travail de groupe
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