Deux catégories majeur de la maladie
Guérison (1)
Guérison (2)
Guérison (3)
Le Phénomène de
possession et les concepts de psychothérapie spirituelle
La Bionutrition
Le Stress d'oxcidation
La Nutrition Cellulaire
la Surconsommation de Médicaments
Médecine Nutritionnelle
DEUX CATÉGORIES MAJEURES DE MALADIES
Lorsque les hommes auront
acquis un meilleur sens des proportions et commenceront à
penser en termes d’Âme, de dessein, et de destinée,
les maladies telles que nous les connaissons se diviseront en deux
catégories majeures.
-Celles qui purifient et nécessitent une période
de repos pour le corps, en vue de poursuivre la vie sur terre.
-Celles qui conduisent au retrait ou à l’abstraction
de l’Âme sous ses deux aspects—vitalité
et conscience.
P/s. dans cet exposé nous nous occuperons seulement de la
première catégorie.
NATURES INFÉRIEURE ET SUPÉRIEURE
Pour comprendre la nature de la maladie, il importe de reconnaître
certaines vérités fondamentales. La première
de ces vérités, c’est que l’homme a une
Âme qui est son moi réel, un Être Divin, un Fils
du créateur de toutes choses, dont le corps bien que temple
terrestre de cette Âme n’est qu’un faible reflet
de la Divinité qui réside en nous et autour de nous.
En autant que nous nous y prêtions, notre Âme dispose
à son gré de notre vie en ce sens que, attentive et
bienfaisante, elle nous guide, nous protège, nous encourage,
nous dirige pour notre plus grand bien.
Le second principe, c’est que, tels que nous nous connaissons
en ce monde, nous sommes des personnalités placées
ici dans le but d’acquérir toute la connaissance et
l’expérience qui peuvent être obtenues par l’existence
terrestre, afin de développer des qualités qui nous
manquent et d’élargir notre capacité d’aimer,
en progressant ainsi vers la perfection de notre nature. L’Âme
sait quel milieu, quelles conditions sont les plus propres à
nous permettre d’atteindre ce but, et nous place là
où il convient que nous soyons à cet effet.
La souffrance est un correctif qui met en lumière la leçon
que nous n’aurions pas comprise par d’autres moyens
et elle ne peut jamais être éliminée tant que
cette leçon n’a pas été apprise.
DEUX CAUSES
Il y a deux causes, l’une intérieure, l’autre
extérieure. C’est celle qui est subjective (intérieure)
qui est la cause initiale.
Un facteur psychologique donné, conduisant à mal
utiliser l’énergie, met en mouvement des tendances
intérieures qui se frayent un chemin vers le plan physique
sous forme de facteurs vitaux déterminants. Celles-ci viennent
alors en contact avec le corps physique qui est déjà
affligé de ses prédispositions, de ses faiblesses
héréditaires, de ses déficiences glandulaires.
Celles-ci font toutes parties de l’équipement au moyen
duquel l’Âme avait décidé de mener à
bien certaines expériences nécessaires.
La relation établie entre les forces extérieures
et intérieures est la cause fondamentale des formes de maladie,
et cette cause s’exprime par deux autres causes . C’est
la relation établie entre les aspects positifs et négatifs
qui donnent naissance à un troisième facteur : la
manifestation de telle ou telle forme de maladie.
Il n’existe pas d’état physique parfait, ni
de corps physique parfait, toute condition physique se traduit par
des faiblesses ou des imperfections. Celles-ci résultent
des tendances d’une vie antérieure, d’une prédisposition,
d’une lésion héréditaire ou d’une
difficulté latente, s’associant à des désirs
ou à des méfaits commis précédemment.
On conçoit qu’il faille deux facteurs, associés
et stimulés, pour produire l’apparition de la maladie.
Mais il ne faut oublier que l’Âme a choisi le corps
et le type de véhicule destiné à lui permettre
d’apprendre certaines leçons et de triompher de certaines
expériences éducatives. La maladie est fréquemment
un mode de liquidation dont les effets ultimes sont bénéfiques.
Lorsque les causes intérieures et extérieures sont
exposées à la claire lumière du jour, il devient
possible de les manier, de les comprendre, souvent de les dissiper
et même de mettre fin aux
tribulations des maladies et des souffrances. Mais c’est
là une vérité bien difficile à accepter.
LA GUÉRISON ESOTÉRIQUE
Toute maladie résulte d’une inhibition dans la vie
de l’Âme, et ceci est vrai de toutes les formes et dans
tous les règnes. L’art du guérisseur consiste
à libérer l’Âme afin que sa vie puisse
s’épandre à travers l’agrégat d’organismes
qui composent toute forme particulière.
Nous voyons donc que la santé humaine se maintient dans
un équilibre optimal, lorsque l’énergie de l’Âme
peut s’écouler librement avec expansion dans les corps
physique, éthérique, émotionnel (astral), et
mental.
L’expérience de l’Âme, dans son incarnation,
vise à poursuivre son évolution et gagner des qualités
qu’elle n’a pas. Elle rencontre des difficultés,
des obstacles, souvent créés par l’ego de la
personnalité : de ces expériences naissent les maladies.
Celles-ci sont souvent l’indication du prochain pas à
accomplir.
Nous sommes également dans une incarnation sur la planète
Terre, planète qui subit des transformations venant influencer
ses différentes composantes, dont les humains. Il faut garder
à l’esprit que de nombreuses maladies sont de nature
collective, et en conséquence inhérentes à
l’humanité elle-même.
A ce stade-ci de l’humanité, nous pouvons dire que
90% des causes des maladies physiques sont issues des corps éthériques
et émotionnels.
Dans tous les processus de guérison, il est important d’amener
le patient à déplacer son attention de ses symptômes
physiques vers une écoute plus attentive de l’Âme.
Ainsi le patient sera amené à comprendre sa maladie
à travers l’analyse de ses symptômes physiques,
de sa composante psychologique ainsi que sa propre compréhension
mentale du processus en cours. Alors, avec conscience, il pourra
participer activement à son processus de guérison
et pressentir l’Âme agissante.
C’est par la juste distribution de l’énergie
que les maux physiques du corps de l’individu seront guéris.
C’est également la note tonique du bien-être
de l’humanité
Individu = partage - distribution
Humanité = économie
C’est le principe fondamental de toute guérison spirituelle,
il présuppose la reconnaissance définitive et scientifique
du corps éthérique de la planète et de l’homme.
LE CORPS ÉTHÉRIQUE OU VITAL
Les principaux facteurs permettant de rétablir ou d’améliorer
le corps éthérique ou vital sont les suivants :
1-les rayons du soleil,
2-Un régime alimentaire soigné,
3-Eviter les fatigues et les soucis.
Une vie normale, saine et bien réglée constitue le
meilleur adjuvant pour accroître la vitalité.
LE PRÂNA
Le prâna est le nom donné à l’énergie
attirée sur le plan physique en provenance de l’aspect
éthérique de toute vie phénoménale.
La guérison physique par le prâna est fort répandue.
Elle ne concerne que les effets et ne touche pas aux causes. La
maladie pourra donc se trouver calmé, mais jamais guérie.
La moyenne des guérisseurs incompétents se limitent
généralement à transmettre simplement le prâna
qui est l’énergie de la planète elle-même,
et à y joindre la force émotionnelle, ce qui provoque
parfois de sérieuses difficultés. Les vrais guérisseurs
sont de type mentaux, qui sont en réalité fort rares.
Ces personnes sont capables de travailler en associant les énergies
éthériques émotionnelles, et celles de l’Âme,
ce qui provoque une synthèse des forces de la personnalité.
Poursuivie intelligemment, cette synthèse amène la
guérison du patient en produisant une organisation et une
harmonie bien défini
LA GUÉRISON PAR L’ÂME
Guérir au moyen de l’Âme : c’est ainsi
qu’agissait le Christ, et rares sont ceux qui peuvent actuellement
suivre son exemple. Il faut toutefois le conserver comme un but.
Le guérisseur doit toujours se rappeler que les événements
se succèdent dans l’ordre qui suit.
D’abord l’Âme qui influence l’être
humain par les énergies des corps astral et mental.
Ensuite le véhicule éthérique qui est un tourbillon
d’énergies focalisées dans de nombreux centres
tant majeur que mineur.
Puis les sept centres majeurs qui viennent conditionner des régions
définies du corps par l’intermédiaire
des nadis,
des nerfs,
du système endocrinien
du courant sanguin.
Notons que ces quatre groupes concernent la vie et la conscience,
c’est-à-dire les deux aspects majeurs de l’Âme
lorsqu’elle se manifeste sur le plan physique.
La force de vie agit par le cœur en utilisant le courant sanguin.
L’aspect conscience se manifeste par le cerveau au moyen
du système nerveux
MISE EN GARDE
Il faut se méfier de la manière dont certains milieux
abordent le sujet des maladies et leur guérison. En invoquant
la divinité de l’homme, certains groupes prétendent
pouvoir garantir la guérison. Cette prétention est
un mirage et une illusion.
LES LIMITES
Il arrive fréquemment qu’au cours d’une vie
les conditions ne puissent pas être modifiées. Révolte
et rébellion ne font que les prolonger. Il faut qu’une
personne apprenne à persévérer malgré
les circonstances, et non à cause d’elles.
Notre perspective de la vie dépend de l’intimité
de la personnalité et de l’Âme. Plus étroite
est l’union, plus grande est l’harmonie et la paix,
et plus clairement brillera la lumière de la vérité,
plus éclatant sera ce radieux bonheur qui appartient aux
plans supérieurs. Elle nous gardera ferme et sans crainte
dans les difficultés et calamités de ce monde, puisqu’elles
ont pour fondement la vérité éternelle de Dieu.
Si nous pouvions seulement rester en constante communion avec notre
Âme - notre Père Céleste - alors, en vérité,
le monde serait un lieu d’allégresse et aucune influence
adverse ne pourrait s’exercer sur nous.
Ces écrits sont une adaptations tiré des livres du
Tibétain et d’un auteur inconnu.
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