Deux catégories majeur de la maladie
Guérison (1)
Guérison (2)
Guérison (3)
Le Phénomène de
possession et les concepts de psychothérapie spirituelle
La Bionutrition
Le Stress d'oxcidation
La Nutrition Cellulaire
la Surconsommation de Médicaments
Médecine Nutritionnelle
Guérison (2)
CONNAIS-TOI TOI-MÊME
GUÉRIS-TOI TOI-MÊME
Dédié à tous ceux qui souffrent ou qui sont dans la détresse
Pour comprendre la nature de la maladie, il importe de reconnaître
certaines vérités fondamentales.
La première de ces vérités, c’est que
l’homme a une Âme qui est son moi réel, un être
Divin, puissant, un Fils du Créateur de toutes choses, dont
le corps, bien que temple terrestre de cette Âme, n’est
qu’un faible reflet; que notre Âme, notre Divinité
Qui réside en nous et autour de nous, dispose à son
gré de notre vie et pour autant que nous nous y prêtons,
nous guide, protège et encourage, attentive et bienfaisante
à nous diriger pour notre plus grand bien; qu’Elle,
notre Moi Supérieur, étant une étincelle de
Tout-puissant, est invincible et Immortelle.
Le second principe, c’est que, tels que nous nous connaissons
en ce monde, nous sommes des personnalités placées
ici dans le but d’acquérir toute la connaissance et
l’expérience qui se peuvent obtenir par l’existence
terrestre, de développer des qualités qui nous manquent
et d’éliminer tout ce qui est mauvais en nous, progressant
ainsi vers la perfection de notre nature. L’Âme sait
quel milieu, quelles conditions sont les plus propres à nous
permettre d’atteindre ce but et ; nous place là où
il convient que nous soyons à cet effet.
Troisièmement, il nous faut bien comprendre que le bref
passage sur cette terre que nous connaissons en tant que vie n’est
qu’un instant dans le cours de notre évolution, tel
une journée d’école dans une existence. Et bien
que nous ne puissions pour le moment voir et comprendre que ce seul
jour, notre intuition nous dit que la naissance fut infiniment loin
de notre commencement et que la mort est infiniment loin de notre
fin. Nos Âmes, qui sont réellement nous, sont immortelles,
et les corps dont nous sommes conscients sont temporaires, comme
des chevaux que nous montons pour accomplir un voyage ou des instruments
dont nous nous servons pour exécuter un travail.
Vient ensuite un quatrième grand principe, c’est que
tant que notre Âme et notre personnalité sont en harmonie,
tout est joie et paix, bonheur et santé. Le conflit surgit
quand notre personnalité s’écarte de la voie
tracée par l’Âme, soit par l’entraînement
de nos propres passions, soit par la persuasion des autres.
Ce conflit est la cause profonde de la maladie et de l’insatisfaction.
Peu importe notre tâche en ce monde – cireur de chaussures
ou monarque, propriétaire ou paysan, riche ou pauvre –
tant que nous accomplissons cette tâche particulière
selon les directives de l’Âme, tout va bien, et nous
pouvons en outre être assurés que quelque position
que nous occupions dans la vie, princière ou inférieure,
elle contient les leçons et expériences nécessaire
à ce moment de notre évolution et nous donne la meilleure
chance pour notre développement.
Le grand principe suivant est la compréhension de l’Unité
de toutes choses, que le Créateur de toutes choses est l’Amour
et que tout ce dont nous avons conscience est dans toutes son infinité
de fores une manifestation de cet Amour, qu’il s’agisse
d’une planète ou d’un caillou, d’une étoile
ou d’une goutte de rosée, d’un homme ou de la
plus infime forme de vie. Nous pouvons en avoir une idée
en nous représentant notre Créateur comme un grand
soleil flamboyant de bienveillance et d’amour irradiant de
son centre un nombre infini de rayons partant dans toute les directions,
à la pointe desquels nous sommes des particules qui doivent
finalement revenir au grand centre après avoir acquis expérience
et connaissance. Et bien que chaque rayon puisse nous apparaître
séparé et distinct, il fait en réalité
partie du grand Soleil central. La séparation est impossible,
car dès qu’un rayon de lumière est coupé
de sa source, il cesse d’exister. Ainsi pouvons-nous comprendre
quelque peu l’interdépendance de tous, car bien que
chaque rayon puisse avoir son individualité, il n’est
est pas moins partie du grand pouvoir central créateur. Donc
toutes actions contre nous-mêmes ou contre un autre affecte
le tout, et comme l’imperfection d’une partie se reflète
sur l’ensemble, chacune de ses parties doit en définitive
devenir parfaite.
Nous voyons donc qu’il y a deux grandes erreurs fondamentales
possibles : dissociation entre notre Âme et notre personnalité,
et tort causé aux autres, car ceci est un péché
contre l’Unité. Chacune d’elles amène
le conflit, lequel conduit à la maladie. Comprendre en quoi
nous commettons une erreur (ce dont nous avons si rarement conscience)
et nous efforcer sérieusement de corriger nos fautes nous
mènera non seulement à une vie de joie et de paix,
mais aussi à la santé.
La maladie est en soi bienfaisante et a pour but de ramener la
personnalité à la volonté Divine de l’Âme.
Elle peut donc être à la fois prévenue et évitée
puisque, si nous pouvions seulement prendre conscience des fautes
que nous commettons et les corriger par des moyes spirituels et
mentaux, il n’y aurait nul besoin des sévères
leçons de la souffrance. La Puissance Divine nous donne toute
opportunité de changer de conduite avant qu’en dernier
ressort peine et souffrance nous soient appliquées. Il se
peut que ce ne soient pas les erreurs de cette vie, de cette journée
d’école, que nous ayons à combattre, et bien
que dans notre mémoire physique nous puissions ne pas être
conscients de la raison de notre souffrance, laquelle peut nous
sembler cruelle et sans cause, notre Âme, elle, (qui est nous-même)
la connaît parfaitement et nous guide pour notre plus grand
bien. Néanmoins, la compréhension et la correction
de nos erreurs abrégeront notre maladie et nous rendront
la santé.
La connaissance des desseins de l’Âme et l’acceptation
dans cette connaissance signifient soulagement de la souffrance
et de la détresse de ce monde et nous laissent libres de
poursuivre notre évolution dans la joie et le bonheur.
Il y a deux grandes erreurs : la première, c’est de
ne pas honorer et obéir aux commandements de notre âme;
la seconde, c’est d’agir contre l’Unité.
En considération de ce qui précède, hésitez
toujours à juger les autres, car ce qui est juste pour l’un
est faux pour l’autre. Le commerçant, dont le travail
consiste à développer ses affaires non seulement pour
son propre profit, mais également pour celui de tous ceux
qu’il emploie, acquérant ainsi efficacité et
maîtrise avec les qualités qui y sont attachées,
doit de toute nécessité montrer des qualités
différentes, des vertus différentes de celles d’une
infirmière qui consacre sa vie aux soins des malades. Et
tous deux cependant, s’ils obéissent aux directives
de leur âme, acquièrent justement ces qualités
qui sont nécessaire à leur évolution. C,est
en obéissant aux commandements de notre âme, notre
Moi Supérieur, que nous apprenons par la conscience, l’instinct,
l’intuition, ce qu’il importe que nous apprenions.
Ainsi voyons-nous que par ses principes mêmes et dans son
essence même, la maladie est à la fois évitable
et curable, et c’est la tâche des guérisseurs
spirituels et des médecins de donner aux malades, en plus
des remèdes matériels, la connaissance des erreurs
de leur vie et le moyen des les éliminer, leur rendant ainsi
la santé et la joie.
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