Deux catégories majeur de la maladie
Guérison (1)
Guérison (2)
Guérison (3)
Le Phénomène de
possession et les concepts de psychothérapie spirituelle
La Bionutrition
Le Stress d'oxcidation
La Nutrition Cellulaire
la Surconsommation de Médicaments
Médecine Nutritionnelle
LE PHÉNOMÈNE DE POSSESSION ET LES CONCEPTS DE PSYCHOTHÉRAPIE SPIRITUELLE
PERMETTANT DE GUÉRIR DES CAS PSYCHATRIQUE GRAVES
DR. CHRISTIAN TAL SCHALLER
L'ÊTRE HUMAIN ET LES « ENTITÉS »
En médecine holistique, nous concevons l'être humain
comme une entité multidimensionnelle comprenant un corps
physique, un corps émotionnel, un corps mental et un corps
spirituel. La mort, telle que nous la vivons sur terre, n¹est
que la mort du corps physique et les trois autres corps ne sont
pas affectés par elle. Étant des corps vibratoires,
ils sont immortels.
Normalement, un individu, après sa mort, devrait, avec son
corps émotionnel et son corps mental, s'en aller vers les
mondes de lumière pour fusionner avec son corps spirituel,
son âme, dans ces sphères célestes où
résident les anges et les guides spirituels.
Mais il arrive souvent que des personnes n'ayant pas reçu
une éducation spirituelle suffisante ne sachent pas qu'elles
doivent, après leur mort, monter vers la lumière.
Déboussolées par la perte de leur corps physique,
corps qui représentait pour elles la seule réalité
connue, elles ne comprennent pas qu'elles sont mortes et se croient
prisonnières d'une sorte de mauvais rêve. En proie
à des émotions intenses de peur, de panique et de
désarroi, ces entités (nous appellerons ainsi ces
êtres décédés qui n'ont pas compris qu'ils
étaient morts) essaient à tout prix de retourner vers
le monde matériel. Elles font tout pour capter l'attention
des vivants, mais ceux-ci, à part quelques clairvoyants,
ne les voient pas et passent à travers elles sans même
s'en rendre compte. Ce phénomène est très bien
montré dans le film « Ghost », un remarquable
film sur la vie après la mort qui a été vu
par des millions de personnes. Le sentiment d'insécurité
et de solitude des entités désincarnées qui
ne peuvent pas communiquer avec leurs proches grandit sans cesse.
Ce sentiment peut les pousser à une colère nourrie
par la peur de se trouver dans un monde immatériel qui les
insécurise tellement qu'elles font l'expérience d'un
véritable cauchemar. Obsédées par le désir
d'avoir un corps de matière pour « revenir sur terre
», certaines de ces entités cherchent alors à
« squatter » un corps humain.
Si elles rencontrent un être psychiquement fragile, elles
parviennent à se glisser dans son corps et à s'exprimer
à travers lui. La malheureuse victime est alors « possédée
» par une entité qu'elle subit mais dont elle ne parvient
pas à se défaire. Ce phénomène de possession
peut être permanent ou survenir par intermittence. Dans ce
dernier cas, la personne possédée explique clairement,
dans ses moments de lucidité, que quelqu'un prend soudain
possession d'elle et lui fait dire ou faire des choses qu'elle ne
peut absolument pas refuser parce qu'elle est totalement subjuguée.
Comme l'entité est souvent la proie d'émotions très
intenses, elle va, lorsqu'elle possède la personne dont elle
occupe le corps, crier, vociférer, tenir des propos violents,
proférep des injures et donner des coups, allant parfois
jusqu'à l'assassinat. De nombreux meurtriers disent : «
Ce n'est pas moi qui ai tué. J'ai été pris
par une force à laquelle je ne pouvais pas résister
et qui m'a obligé à agir en dominant complètement
ma propre volonté. » En fait, l'entité qui pousse
ainsi à la folie celui dont elle a pris possession n'est
pas méchante mais elle se trouve dans un tel désarroi
qu'elle appelle au secours. Sa violence n'est qu'un cri de désespoir,
un appel à l'aide.
LE TRAITEMENT « MATÉRIALISTE ».
Hélas, dans les pays occidentaux, la plupart des locaux
de police et des hôpitaux psychiatriques ignorent tout de
ce phénomène et traitent ces situations d'un point
de vue purement matérialiste. On considère les possédés
comme des fous dangereux et on les enferme en leur injectant de
hautes doses de neuroleptiques qui les assomment pour quelques heures
ou quelques jours. Quand ils se réveillent, ils sont dans
un brouillard psychique et un mal-être physique tels qu'ils
n'arrivent plus à retrouver leur lucidité. Empoisonnés
par des drogues chimiques qui les coupent de leurs sensations, de
leurs émotions et de leurs pensées personnelles, ils
se sentent étrangers à eux-mêmes. C'est la schizophrénie
sur ordonnance, la folie iatrogénique, c'est-à-dire
créée par l'intervention médicale qui, au lieu
de les aider, les enfonce toujours plus profondément dans
la maladie psychiatrique ! Du coup, les entités qui les obsèdent
accroissent leur emprise sur eux et les poussent à des manifestations
de panique émotionnelle ou de violence qui justifient de
nouvelles injections. Une spirale descendante vers l'enfer est mise
en place et elle pourra durer des années, voire des dizaines
d'années, jusqu'à la mort de la personne possédée
qui ira, dans sa confusion, rejoindre le lot des entités
désincarnées cherchant, dans une quête jamais
satisfaite, à retrouver la sécurité d'un corps
de matière.
Sachant que plus des deux tiers des personnes qui sont internées
dans des hôpitaux et asiles psychiatriques sont des personnes
possédées en permanence ou par intermittence, on peut
mesurer l'importance de ce phénomène !
Ces personnes, dont la souffrance est intense, errent tristement
dans les couloirs et les chambres des établissements psychiatriques
où elles sont gardées par une armée d'infirmiers
et de médecins. Elles reçoivent des quantités
massives de médicaments neuroleptiques qui les abrutissent
peu à peu et les transforment en zombies, en êtres
qui ne font plus vraiment partie du royaume des vivants et pas encore
complètement de celui des morts. Elles vivent entre deux
mondes, dans une grisaille sordide, dans une torpeur léthargique
que ni les médicaments chimiques ni les discussions avec
les psychiatres ne peuvent guérir.
Le psychiatre R.D. Laing a exprimé cela par ces mots : "La
personne emprisonnée, étiquetée comme malade,
et spécifiquement comme « schizophrène »,
est rabaissée de son statut légal de personne responsable
au rang de quelqu'un qui n'est plus en possession de sa propre définition
de lui-même, incapable de garder ses propres possessions,
exclu de l'exercice de sa liberté en ce qui concerne les
gens qu'il rencontre et ce qu'il fait. Son temps ne lui appartient
plus et l'espace qu'il occupe n'est plus de son choix. Après
avoir subi un cérémonial de rabaissement appelé
examen psychiatrique, il est dépourvu de ses droits civiques
en étant emprisonné dans une institution totalitaire
appelée "hôpital psychiatrique". Plus complètement,
plus radicalement que n'importe où dans notre société,
il est invalidé en tant qu'être humain. Les malades
internés vivent entre deux mondes, dans une grisaille sordide,
dans une torpeur léthargique que ni les médicaments
chimiques ni les discussions avec les psychiatres ne peuvent guérir.
Emmurés dans leurs camisoles de force neuroleptiques, ils
attendent un miracle sans cesse repoussé à demain.
Pourtant, au fond de leur cœur, nombre d'entre eux gardent
une lueur d'espoir qui les maintient en vie. Ils pressentent, même
s'ils sont incapables d'expliquer pourquoi, qu'il devrait être
possible de les délivrer de leur enfer."
UNE GUÉRISON ?
En fait, leur guérison est tout à fait réalisable
pour peu que l'on veuille bien sortir du cadre étroit de
la psychiatrie matérialiste et s'intéresser aux concepts
de la psychothérapie spirituelle qui s'occupe de ces phénomènes
de possession en apportant les outils permettant la dépossession.
Il existe notamment un pays dans le monde où l'on travaille
avec succès et à grande échelle sur ces phénomènes,
depuis plus d'un siècle. Il s'agit du Brésil, pays
étonnant qui ne compte pas moins de quinze millions de spirites,
c'est-à-dire de personnes qui utilisent les méthodes
mises au point par le professeur français Allan Kardec, fondateur
du mouvement spirite. En France, les idées de Kardec connurent
tout d'abord un grand succès et des milliers de cercles spirites,
pratiquant la communication avec les guides spirituels et les entités
désincarnées, virent le jour. Puis, peu à peu,
sous la pression des scientifiques matérialistes, les idées
spirituelles furent tournées en dérision et le culte
du « progrès scientifique » devint la religion
dominante qui écrasa, en les traitant de superstitions ridicules,
toutes les formes de recherche spirituelle. Le spiritisme fut pourchassé
avec la même dureté qu'on voit s'exercer aujourd'hui
contre les mouvements spirituels, qui, en étant traités
de sectes ou de déviances sectaires, sont mis au ban de la
société et persécutés de mille manières.
Bientôt il n'y eut plus, en France, que quelques cercles spirites.
Mais le spiritisme ne disparut pas pour autant. Il resta vivant
en Angleterre où la guérison spirituelle est proposée
comme un droit à tous les malades qui entrent dans un hôpital.
Et c'est au Brésil qu'il trouva une terre extrêmement
fertile pour y croître d'une manière extraordinaire.
Ce pays n'avait pas de grandes industries pharmaceutiques ni vaccinales,
comme la France. Une très grande tolérance religieuse
y existait dès son origine puisque les colons portugais avaient
laissé cohabiter, avec le catholicisme, des traditions africaines
nombreuses, comme l'Umbanda et le Condomblé, sans inquisition
ni chasse aux sorcières. Le spiritisme permettant de soigner
des malades, et notamment des malades psychiatriques, avec succès
et sans médicaments chimiques coûteux, son essor fut
impressionnant et il existe aujourd'hui au Brésil des hôpitaux
et des facultés de médecine qui enseignent les techniques
spirites. Des dizaines de milliers de malades possédés
sont dépossédés chaque année et les
entités qui les harcelaient sont guidées vers les
mondes de lumière. C'est un magnifique travail spirituel
auquel j'ai assisté avec beaucoup d'émotion dans plusieurs
villes du Brésil.
POSSESSION… DÉPOSSESSION…
En général, le travail de dépossession se
fait avec un groupe de prière de quelques personnes assises
en cercle qui commencent par demander de l'aide aux guides spirituels,
puis élèvent la vibration du groupe par des chants
et des prières jusqu'à ce qu'un des médiums
présents entre en transe pour laisser passer à travers
lui l'entité qui persécute le malade. Le passage de
l'entité à travers le médium est souvent spectaculaire
puisque, comme nous l'avons vu, ces entités sont la proie
d'intenses émotions de peur, de colère ou de tristesse
qui s'expriment par des cris stridents, des pleurs à fendre
l'âme ou des gestes désordonnés qui traduisent
un intense état d'anxiété. Les autres membres
du groupe vont alors, avec amour et patience, entrer en conversation
avec l'entité désincarnée pour lui expliquer
qu'elle est morte. Ils vont l'inviter à cesser de posséder
des individus terrestres pour gagner les mondes de lumière
où l'attendent ses guides et les parents de sa famille qui
sont déjà décédés. Voici le genre
de dialogue qui se produit :
L'entité (E) ( avec des cris et des pleurs) : Je souffre,
c'est terrible, je n'en peux plus ! Un membre du groupe (MG) : Nous
sommes là pour t'aider. Comment t'appelles-tu ? E : Je m'appelle
Carlos. Je ne comprends pas ce qui m'arrive, tout est si noir et
si confus. Je dois faire un mauvais rêve ! MG : Non, pas du
tout ! Tu es mort, tout simplement ! E : Comment ça, je suis
mort ? Mais non, je ne suis pas mort, je suis là, je suis
bien vivant ! MG : Oui, tu es vivant, mais tu as quitté le
monde de la matière et tu n'as plus de corps. C'est pour
cela que tu essaies de prendre le corps de cette personne que tu
harcèles. E : Je ne vous crois pas. Être dans ce corps
me fait du bien, ça soulage ma souffrance. MG : As-tu un
parent qui soit mort ? E : Oui, ma grand-mère est morte quand
j'avais huit ans. Je l'aimais beaucoup et je l'ai toujours regrettée.
MG : Très bien. Tu vas maintenant penser très fortement
à elle, faire le contact avec elle par le cœur. E (d'une
voix plus douce) : Je ne sais pas faire cela ! Je n'y arriverai
jamais. MG : Courage, nous te soutenons, pense à elle ! E
(après un long silence) : Oh, mon Dieu, je la vois ! Elle
est toute lumineuse et si belle, si rayonnante. Elle me tend les
bras et m'appelle. Elle me dit de ne plus rester là en-bas
mais de venir la rejoindre. Elle m'explique que je suis mort et
que mon ignorance et ma terreur m'ont empêché jusqu'à
présent de l'entendre et de la rejoindre. A côté
d'elle, il y a des anges et des êtres de lumière. Leurs
regards sont pleins d'amour et de sagesse. Comme c'est beau ! MG
: Nous sommes très heureux d'avoir pu te montrer le chemin.
Va en paix ! E (avec des pleurs de joie) : Merci, merci les amis.
Vous êtes merveilleux, je vous suis reconnaissant à
jamais ! Puis le groupe va formuler une prière de reconnaissance
et clore la séance. Parfois l'entité va expliquer
aussi pourquoi elle s'est attaquée à cette personne
en particulier. Dans le remarquable livre de Divaldo Pereira Franco,
« La guérison d'Esther », une situation de ce
genre est expliquée en détail et permet de comprendre
que rien n'arrive par hasard dans le monde.
Tout a un sens pour permettre l'évolution de chacun vers
l'amour inconditionnel et la conscience spirituelle. Il faut souligner
qu'un travail de dépossession de ce genre doit impérativement
être suivi d'une éducation holistique de la personne
délivrée pour qu'elle développe les outils
lui permettant désormais de ne plus être la proie d'entités
désincarnées. À défaut, les phénomènes
de possession reviendront tôt ou tard. Les personnes qui se
soumettent à des exorcismes pratiqués par des prêtres
ou des thérapeutes sans rien changer à leurs habitudes
ni rien apprendre pour mieux gérer leur vie n'obtiennent
que des rémissions et non des guérisons réelles.
La seule guérison qui soit authentique, complète et
durable consiste à savoir gérer soi-même sa
santé sur tous les plans et à tout moment. L'éducation
holistique correspond à apprendre à vivre en harmonie
avec ses quatre corps : bien s'occuper de son corps physique par
une alimentation végétale, vivante et variée,
s'abstenir d¹excitants artificiels comme le café, l'alcool,
le sucre et le sel raffinés, les médicaments chimiques
et la cigarette, pratiquer assez d'exercice physique, veiller à
disposer d'assez de temps de sommeil, apprendre à gérer
ses émotions, à se délivrer des croyances limitées
du cerveau gauche et à cultiver les fonctions du cerveau
droit en pratiquant la visualisation, la méditation et le
voyage intérieur pour se relier à ses guides de lumière
et recevoir leurs messages de sagesse.
LE RÔLE DES EMOTIONS
La gestion des émotions est l'un des outils fondamentaux
pour ne plus être victime des entités désincarnées.
En effet, une personne qui sait comment extérioriser ses
émotions à travers son corps a la capacité
de se déposséder instantanément. Elle est comme
une maison qui dispose d'un paratonnerre. Si la foudre frappe l'antenne
placée sur le toit, sa décharge électrique
est dirigée et évacuée dans la terre par le
fil de cuivre attaché à l'antenne. Si l'on imagine
une antenne sur le toit qui ne serait pas reliée à
la terre, la foudre ne va pas s'éliminer dans le sol mais
va mettre le feu à la maison. Une personne qui a appris à
faire circuler ses émotions à travers tous les muscles
de son corps est comme une maison disposant d'un paratonnerre relié
à la terre. Elle évacue aussitôt les charges
émotionnelles qu'elle reçoit. Alors qu'une personne
qui vit trop dans son intellect et refoule constamment ses émotions
ne sait pas se connecter à la terre. Elle est privée
de racines et peut être facilement possédée
par une entité désincarnée. La puissance d'une
telle entité vient du fait qu'elle vit dans une bulle d'une
très haute intensité émotionnelle. Elle peut
donc subjuguer une personne qui a peur des émotions fortes
et ne sait pas comment les évacuer. En fait, le monde du
bas astral, dans lequel se trouvent les entités désincarnées
incapables de gagner le haut astral et les mondes de lumières,
correspond à cette atmosphère qui entoure la terre
et qui contient toutes les émotions négatives de l'humanité
: jugements, peurs, colères, rages, haines, furies, jalousies,
rancunes, rancœurs, ressentiments, frustrations, etc. Toutes
ces émotions sont le fruit de pensées limitées,
ces pensées qui ne viennent pas de l'âme et des mondes
de lumières mais ont été créées
par des humains ayant perdu leur conscience spirituelle.
Mon épouse, Johanne Razanamahay, a magnifiquement décrit,
dans ses livres « Debout les Petits Dieux », «
La Mort n'est jamais un Accident » et « Au cœur
de la Conscience Totale », la différence entre les
idées-pensées spontanées-jaillissantes qui
viennent de l'âme, et les idées-pensées torturées-stagnantes
qui viennent des croyances socio-éducatives du cerveau gauche.
L'épais brouillard du bas astral est donc constitué
de toutes les émotions négatives et de toutes les
pensées dépourvues de lumière et d'amour qui
tissent la trame de la compétition, des hiérarchies,
des jeux de pouvoir, des guerres, des maladies, de la solitude et
de la mort, tous ces fléaux qui empoisonnent l'humanité
depuis qu'elle a oublié son origine divine, depuis que les
êtres humains ont sombré dans l'illusion de croire
qu'ils étaient des corps physiques fabriquant des émotions
et des pensées alors qu'ils sont des êtres spirituels
créant, pour venir sur terre, un corps mental, puis un corps
émotionnel et enfin un corps de matière. Le matérialisme,
cette sorte de religion qui ne croit qu'au monde de la matière
et enseigne que la mort est la fin de la vie, rend ses adeptes totalement
ignorants des réalités spirituelles. Du coup, ils
ne savent pas comment traverser le bas astral pour gagner le haut
astral, ce plan où les anges et les guides spirituels accueillent
ceux qui ont quitté leur corps physique et viennent faire
le point sur leurs expériences de vie.
Le monde du bas astral contient de véritables monstres qui
se nourrissent des émotions négatives des êtres
humains. Ils se font aider, dans leur vampirisme démoniaque,
par tous les individus qu'ils parviennent à infecter par
des croyances matérialistes. Ils manipulent sans relâche
les émotions négatives pour maintenir l'humanité
dans un véritable esclavage mental et émotionnel.
Pour assurer leur pouvoir, ils ont besoin que la confusion et le
chaos règnent. Ils sont donc à l'origine des sociétés
secrètes, des financements occultes des partis politiques,
des financiers qui cherchent à imposer un gouvernement mondial,
des militaires qui veulent tout régler par les armes, des
scientifiques qui ont vendu leur âme aux industriels, des
experts de tous ordres qui fonctionnent avec des idées intellectuelles
privées de toute dimension spirituelle, des parents et professeurs
qui enseignent aux enfants comment étouffer toutes leurs
émotions pour devenir des robots, contrôlés
par la raison et l'obéissance aux dogmes sociaux.
COMMENT EXPRIMER SES ÉMOTIONS ?
Dès qu'un être humain perd sa connexion avec son
âme, n'entend plus chanter dans son cœur la voix du divin,
obéit aux autres plutôt qu'à son intuition profonde,
croit aux idées matérialistes et n'extériorise
plus ses émotions, il devient l'esclave des monstres du bas
astral. Comme vous pouvez ainsi le constater, le phénomène
de la possession est beaucoup plus vaste que le seul cas des malades
mentaux ! Il est vraiment le problème numéro un de
l'humanité actuelle puisque tous les autres problèmes
ne sont que la conséquence de cet esclavage encore méconnu
du grand public. Le propre de toutes les personnes infectées
par les pensées limitées et les émotions refoulées
du bas astral est qu'elles sont sûres d'avoir raison !
Elles vivent dans le malheur, le mal-être, le stress, les
conflits et les maladies, mais elles sont persuadées de savoir
ce qui est bon pour tous et veulent constamment convaincre tous
ceux qu'elles rencontrent de vivre selon leurs normes et leurs échelles
de valeur ! Plus elles sont ignorantes des réalités
spirituelles, plus elles sont intolérantes et cherchent à
imposer leur loi à tous. Ce sont elles qui manielt la «
peur des sectes » et pourchassent tous ceux qui ont une quête
spirituelle ou s'intéressent aux médecines naturelles.
Ce sont elles qui, par médias interposés, agitent
les émotions des foules pour que tous vivent sans cesse dans
un tourbillon de peur, de jalousie et de haine. Ce sont elles qui
désignent régulièrement des « boucs émissaires
» pour entretenir la colère du public. Ce sont elles
qui choisissent de présenter seulement des informations négatives
sur ce qui se passe dans le monde d'aujourd'hui afin de maintenir
une vision dramatique et pessimiste de la vie sur terre. Ces personnes
ne sont pas conscientes d'être au service des monstres du
bas astral. Au contraire, elles sont persuadées d'agir pour
le bien de l'humanité !
Lorsqu'un individu a appris à extérioriser ses émotions
à travers des gestes, des grimaces et des sons, hors de la
vue d'autres personnes pouvant penser qu'il est fou, il pourra retrouver
le chemin du Royaume des Cieux qui, comme l'a dit Jésus,
est réservé à ceux qui « peuvent redevenir
des enfants. » Les tout petits-enfants sont nos professeurs
de gestion émotionnelle. Dès qu'ils ressentent une
émotion, ils la font sortir de leur corps par une gestuelle
naturelle non contrôlée par l'intellect. Les animaux,
eux aussi, nous montrent comment ne pas refouler ses émotions
mais les exprimer aussitôt. Hélas, au lieu de les considérer
comme des professeurs de vie naturelle et instinctive, nous les
enfermons dans ces camps de concentration pour animaux qui s'appellent
élevages industriels, nous les torturons dans les laboratoires
au nom de la science pharmaceutique et nous les maltraitons de mille
manières, inhumaines et sordides !
L'EXEMPLE DES CHAMANES
Dans les peuples des anciennes cultures, ces peuples chamaniques
qui n'ont pas développé de civilisations conquérantes
et destructrices mais qui ont toujours vécu en harmonie avec
la nature, tout adulte peut, lorsqu'il en ressent le besoin, redevenir
un enfant qui rit, pleure, crie, hurle, gesticule et vide ainsi
ses émotions sans jamais chercher à les déverser
sur autrui. Dans les pays dits civilisés, où règne
une intense répression émotionnelle, personne ne peut
se comporter comme un enfant en public s'il a dépassé
l'âge d'entrer à l'école primaire. On le prendrait
aussitôt pour un fou dangereux ! Il s'agit donc, dans les
pays réprimés émotionnellement, de se cacher
pour défouler ses émotions. On pourra ainsi bénéficier
des trésors de la folie douce qui consiste à être
civilisé en public mais fou en privé, pour ne pas
garder en soi ces émotions négatives qui font de nous
des proies faciles pour les entités et les monstres du bas
astral. Dans le « Manuel des émotions » que nous
avons écrit, mon épouse Johanne Razanamahay et moi,
nous montrons l'immense importance de l'apprentissage de cette gestion
des émotions et les effets bénéfiques puissants
qu'elle procure à nos quatre corps.
Je me souviens d'une femme qui avait souffert d'avoir un mari alcoolique.
Pendant des années, elle avait tout tenté pour essayer
de sortir son époux de l'emprise de l'alcool, mais sans aucun
succès. Il mourut donc de son alcoolisme. Le lendemain de
son enterrement, cette femme, en passant devant un café,
se sentit irrésistiblement attirée à y pénétrer
et elle commanda, à son corps défendant, un verre
d'alcool ! À sa grande stupéfaction, elle ne put s'empêcher
d'en commander un second, puis un troisième. Affolée,
elle sortit en titubant, en proie à une terrible confusion
mentale. Comme elle n'avait jamais été attirée
par la boisson auparavant, elle crut qu'elle devenait folle. Ce
phénomène d'une force irrésistible qui soudain
subjuguait sa volonté et la poussait à boire se reproduisit
dans les jours suivants. Elle réalisa alors que cela devait
être en relation avec son mari décédé
et vint me consulter. Je lui confirmai ce qu'elle avait pressenti
: elle était par moment possédée par son mari
qui, manifestement, était resté prisonnier du bas
astral. Je lui montrai comment exorciser cette possession en faisant
d'abord sortir de son corps ses émotions et celles de son
mari puis en parlant, avec son cœur, à son ex-compagnon,
pour l'inciter à gagner les mondes de lumière plutôt
que de pousser sa femme vers les bouteilles d'alcool qui lui manquaient
tant ! Comme il adorait, dans sa jeunesse, la danse de salon et
la chansonnette, elle lui parla en dansant et en chantant, pour
toucher son cœur. Lorsqu'elle sentit, à quelques reprises
encore, la force psychique de son mari décédé
la pousser vers l'alcool, elle se mit à danser avec intensité
pour se délivrer de toute peur et de toute possession et
put ainsi reprendre le contrôle de ses pensées et de
son corps. Un jour, elle sentit que son mari avait enfin compris
son message et partait, le cœur léger, vers les mondes
spirituels. Il était délivré et elle n'eût
plus jamais cette attraction rationnellement inexplicable pour les
boissons alcoolisées.
Je me souviens d'un autre cas spectaculaire : une jeune femme était
internée en asile psychiatrique depuis plusieurs années.
Elle avait des crises de violence qui la rendaient incapable de
mener une vie sociale. Son mari fit appel à mon épouse
et celle-ci accepta de s'occuper d'elle. Avec l'aide de ses guides
spirituels, elle put comprendre que la folie avait commencé
juste après la mort de la mère de cette jeune femme
et que cette mère décédée, au lieu de
monter vers les mondes de lumière, s'accrochait à
sa fille sans comprendre ce qui lui arrivait. Avec patience, elle
expliqua la situation à la jeune femme et ensemble elles
dansèrent, chantèrent et envoyèrent des prières
à cette mère pour qu'elle cesse de harceler sa fille
et monte vers les mondes spirituels. Ce travail intense fut poursuivi
pendant plusieurs jours et bientôt la mère accepta
de partir vers le ciel. La jeune fille fut ainsi délivrée
entièrement de cette possession dramatique et put recommencer
une vie normale.
POSSESSION ET FOLIE
Il existe un autre phénomène de possession. Si une
personne, dans l'une de ses existences, vit une émotion très
intense de désespoir, d'impuissance ou de solitude, elle
peut avoir une partie d'elle-même qui reste prisonnière
de cette émotion. Mon épouse, Johanne Razanamahay,
dans ses livres « La Mort n'est jamais un Accident »
et « Au Cœur de la Conscience Totale » a baptisé
ces parties sous le terme de Sous-Personnalités Psycho-Actives,
ce que nous abrégeons par le sigle SPPA.
Ainsi, une jeune femme très intellectuelle me disait avoir
une peur terrible de la folie en expliquant :
L'idée de perdre la tête et de ne plus pouvoir me
contrôler me terrorise. Je ne comprends pas d'où vient
cette peur car il n'y a aucun fou dans ma famille et je ne suis
jamais allée dans un hôpital psychiatrique !
Toutes les peurs, lui répondis-je, sont des mémoires.
Certaines viennent de l'enfance, d'autres de vies antérieures.
C'est très probablement votre cas.
Vous voulez dire que j'ai été folle ? s'exclama-t-elle.
Cette idée me semble insensée. Je n'ai jamais été
folle !
Comment pouvez-vous être si sûre de vous ? Plutôt
que de rejeter tout ce qui n'entre pas dans le cadre de vos croyances
intellectuelles, pourquoi ne pas aller voir vous-mêmes, en
détente profonde, ce qui est à l'origine de votre
peur ? Cela vaudrait mieux, en tout cas, que de continuer à
vivre avec cette peur qui vous ronge et pourrait, si vous ne faites
rien, finir par se réaliser ! Car les peurs que l'on refoule
sans cesse dans l'inconscient peuvent finir, après des mois
ou des années, par sortir au grand jour pour vous dominer
complètement ou créer toutes sortes de maladies dans
votre corps.
Alors là, docteur, vous me faites vraiment peur ! dit-elle
en tremblant d'un mélange de crainte et d'intérêt
qui dessinait un sourire sur ses lèvres et faisait frissonner
son corps.
À mon avis, ajoutai-je, vous courez beaucoup plus de risques
en gardant cette peur en vous sans oser l'aborder qu'en plongeant
dans votre mémoire pour l'exorciser et vous en libérer
!
Laissez-moi un temps de réflexion, dit-elle. Je vous contacterai
quand je serai prête.
J'admirai cet état d'esprit souverain qui veut agir quand
il le sent et ne fut pas étonné lorsqu'elle me demanda
un rendez-vous quelques jours plus tard. Après quelques exercices
de relaxation profonde du corps, je l'invitai tout d'abord à
monter vers les mondes subtils pour y ressentir la lumière
et l'amour divin (j'explique ce processus en détail dans
mon livre « L'Épée de Lumière. »)
Une fois dotée de l'épée de lumière
qui est le symbole de la puissance de l'âme, elle plongea
dans le tunnel du temps pour comprendre l'origine de sa peur de
la folie. Voici son récit, avec mes interventions :
J'avance dans ce tunnel noir en suivant mon épée
de lumière pointée devant moi. Je vole derrière
elle comme superman, ou plutôt superwoman ! J'arrive bientôt
devant une jeune femme. Mon Dieu, quelle horreur, elle est complètement
folle et se frappe la tête contre les murs en vociférant.
C'est affreux !
Ne vous laissez pas submerger par son émotion ! Regardez
dans ses yeux pour la comprendre.
Je vois sa peine, sa détresse, sa solitude. Cela me fend
le cœur. Comme elle souffre !
Regardez maintenant le film de sa vie pour voir comment elle en
est arrivée là.
Je la vois quelques années plus tôt. Elle est ravissante
et ses longs cheveux blonds flottent dans le vent. Elle porte une
longue robe de lin et cueille dans la forêt des plantes médicinales
pour préparer des remèdes.
A quelle époque vit-elle ?
A la fin du dix-huitième siècle. Elle soigne les
habitants de sa contrée avec des plantes et aussi des massages
et des prières. Mais les autorités religieuses et
médicales ne l'aiment pas, car elle obtient des guérisons
là où ils échouent. Elle n'a que du mépris
pour les médecins et les prêtres qu'elle considère
comme des marchands ayant vendu leur âme au diable. Ils lui
interdisent de soigner mais elle continue. Alors, dans leur rage,
ils la déclarent folle et la font interner dans un asile
d'aliénés. Elle souffre intensément de cette
traîtrise et la colère s'accumule en elle au point
de lui faire perdre la raison. C'est affreux, horrible !
Ne vous laissez pas envahir par ses émotions. Observez
ce qui se passe….
Elle hurle et déchire ses habits. Je vois des entités
fantomatiques prendre possession de son corps et la faire agir comme
une folle qui bave de rage, veut frapper tous ceux qu'elle voit
et se donne des coups à elle-même. Lorsqu'elle est
épuisée, elle retrouve ses esprits pendant quelques
instants mais son dégoût d'elle-même est tel
qu'elle ne peut pas s'accepter et les entités reviennent,
dans une ronde de démence qui la plonge dans des abîmes
sans fonds.
Il est temps de lui venir en aide. Imaginez-vous en train de hurler
comme elle pour que votre vibration soit proche de la sienne et
qu'elle puisse ainsi faire attention à vous.
Oui, je mets tout mon amour à me comporter comme elle,
à lui montrer que je suis avec elle dans sa folie. Ça
y est, elle me voit et se calme au contact de mon regard. Maintenant
elle pleure. Je la prends dans mes bras. Comme c'est bon ! Elle
me dit : - Je t'attendais depuis si longtemps ! Je lui réponds
: - Je suis là et je ne te quitterai plus jamais ! Nous nous
serrons l'une contre l'autre et des flots de tendresse au goût
de miel coulent entre nous. Puis nous partons ensemble jouer dans
les champs, courir et danser dans la nature. Nous sommes libres,
libres !
LE « CHANNELING »
Aux Etats-Unis, Edith Fiore, médecin auteur d'un best-seller
sur la thérapie des vies antérieures, s'est penchée
sur le problème de la possession et son livre « Les
Esprits Possessifs » contient de nombreuses histoires de ce
genre. Aller délivrer les parties de nous-mêmes, les
SPPA, qui sont restées prisonnières du bas-astral
est un travail personnel d'une immense valeur. Nous sommes les meilleurs
thérapeutes qui soient pour nous-mêmes ! Personne ne
peut, mieux que nous, comprendre la souffrance de nos SPPA, personne
ne peut mieux les aider à se délivrer de leurs limitations
et rejoindre notre âme dans la lumière et la conscience
de l'unité. Nous faisons aussi ce travail dans le cadre de
la thérapie par la danse de l¹Ego CONSCIENT que nous
avons créé, Johanne et moi, et pratiquons avec des
groupes dans plusieurs pays. Il s'agit, dans la sécurité
d'un cercle de participants entraînés, à soutenir
celui qui est au centre, de laisser s'exprimer toutes nos SPPA pour
les délivrer des jugements que nous avons portés sur
elles. De vrais miracles, des libérations et des guérisons
étonnantes se produisent lorsque la conscience et l'amour
remplacent l'ignorance et le non-amour.
Nous travaillons aussi avec nos guides spirituels, par le procédé
du « channeling », également appelé communication
spirituelle, qui consiste à se laisser posséder, non
par une entité du bas astral, mais par un guide de lumière
ou un ange afin de transmettre des informations sur les causes des
maux du présent, que ces causes soient dans le passé
récent, dans l'enfance ou dans des vies antérieures.
Les guides et les anges présentent aussi les moyens permettant
de se guérir complètement et de vivre désormais
dans la pleine conscience. Nous avons, l'un et l'autre, écrit
des livres en collaboration avec nos guides spirituels et avec des
êtres qui ont quitté le plan terrestre. Ainsi Johanne
a pu travailler en communication spirituelle avec son frère,
assassiné en 1992, pour écrire « La Mort n'est
jamais un Accident » et « Au cœur de la Conscience
Totale ». J'ai reçu le récit d'une jeune fille
de 17 ans morte dans un accident de la circulation et qui découvre
avec émerveillement les mondes de lumière. Je l'ai
publié dans « Laetitia » dont le sous-titre affirme
« Je ne suis pas morte, je vis dans la lumière ! »
Nous enseignons aussi à nos élèves et stagiaires
comment se libérer de l'emprise du mental limité et
du bas astral pour communiquer eux-mêmes directement avec
les mondes de lumière. C'est un travail qui donne des fruits
de souveraineté au goût de paradis !
POSSESSION ET « FORMES-PENSEES »
Outre les phénomènes de possession décrits
ci-dessus, il faut signaler une autre forme de possession : celle
des personnes prisonnières de formes-pensées dont
elles ne peuvent se libérer. Si votre père ou votre
mère vous ont répété sur tous les tons
et pendant des années que vous étiez bon à
rien, cette forme-pensée peut vous empoisonner la vie jusqu'à
ce que vous fassiez le travail émotionnel et mental de vous
en délivrer. Pour faciliter cela, nous avons inventé,
Johanne et moi, un jeu de cartes, les « cartes de Transformation
Intérieure » qui permettent de pratiquer une sorte
de mini-psychothérapie pour aller voir les SPPA bloquées
en nous ainsi que les émotions et les formes-pensées
qui les font souffrir. Il est alors aisé de leur donner,
en visualisation, ce qui leur a manqué et de les envoyer
dans la lumière. Les cartes permettent non seulement de pratiquer
un travail d'auto-guérison des SPPA immobilisées dans
notre inconscient mais aussi de venir en aide à autrui sans
le rendre dépendant du thérapeute. Ces cartes sont
porteuses d'un puissant message d'espoir car, comme de plus en plus
de personnes comprennent l'importance d'un travail de guérison
personnelle et s'y adonnent avec détermination, la gigantesque
forme-pensée (aussi appelée egrégore) qu'est
le bas-astral est en train de perdre son pouvoir et de se dissoudre.
Peu à peu, la peur, l'ignorance spirituelle, l'amour du pouvoir
despotique et tous les mécanismes par lesquels des êtres
cherchent à en contrôler d'autres sont inéluctablement
condamnés à disparaître pour faire place à
la paix, à la sagesse, au pouvoir de l'amour et à
la collaboration dans le respect des différences.
VERS LE TROISIEME MILLENAIRE
En ce troisième millénaire qui verra l'avènement
d'une société planétaire, fraternelle et spirituelle,
ouvrons la porte à toutes les ressources d'une psychothérapie
spirituelle qui nous délivre des prisons du matérialisme
et nous permette la guérison de toutes les formes de possession.
De plus en plus de thérapeutes, dans tous les pays du monde,
sortent du cadre limité de l'intellect et des thérapies
qui ne s'occupent que du corps physique pour retrouver les techniques
de guérison spirituelle qu'utilisaient les chamanes du passé,
ces chamanes dont je décris les concepts et les techniques
dans « L'Univers des Chamanes » ( manuscrit encore non
publié mais disponible en photocopie).
Les chamanes du passé et du présent collaborent sans
cesse avec leurs alliés spirituels pour délivrer les
êtres humains de leurs maux et leur enseigner un art de vivre
qui intègre le physique, l'émotionnel, le mental et
le spirituel dans une danse lumineuse et joyeuse, une danse délivrée
des luttes et des peurs qu'avait engendré notre perte de
connexion avec le divin qui est en nous. En sortant des dépendances,
de la peur et de la soumission au pouvoir d'autrui, nous retrouvons
notre souveraineté d'enfants divins du Père Céleste
et de la Mère Cosmique. Nous nous dépossédons
des mémoires de souffrances et de limitations du passé
et retrouvons notre joie étincelante d'êtres immortels,
infinis, éternels et universels !
Le Dr Tal Schaller est un des pionniers de la médecine holistique
européenne. Il a fondé les éditions Vivez Soleil,
et est auteur d'une vingtaine de livres devenus des classiques de
la médecine préventive et de l'éducation de
la santé.
Johanne Razanamahay, son épouse, enseigne les lois élémentaires
de la santé holistique. Elle est auteur de "Debout les
Petits Dieux" (éd. Vivez Soleil) et de plusieurs autres
ouvrages, et dirige avec son époux l'Institut de Recherches
et d'Applications en Santé Globale du domaine de Faujas dans
la Drôme.
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