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LE PHÉNOMÈNE DE POSSESSION ET LES CONCEPTS DE PSYCHOTHÉRAPIE SPIRITUELLE
PERMETTANT DE GUÉRIR DES CAS PSYCHATRIQUE GRAVES


DR. CHRISTIAN TAL SCHALLER


L'ÊTRE HUMAIN ET LES « ENTITÉS »

En médecine holistique, nous concevons l'être humain comme une entité multidimensionnelle comprenant un corps physique, un corps émotionnel, un corps mental et un corps spirituel. La mort, telle que nous la vivons sur terre, n¹est que la mort du corps physique et les trois autres corps ne sont pas affectés par elle. Étant des corps vibratoires, ils sont immortels.

Normalement, un individu, après sa mort, devrait, avec son corps émotionnel et son corps mental, s'en aller vers les mondes de lumière pour fusionner avec son corps spirituel, son âme, dans ces sphères célestes où résident les anges et les guides spirituels.

Mais il arrive souvent que des personnes n'ayant pas reçu une éducation spirituelle suffisante ne sachent pas qu'elles doivent, après leur mort, monter vers la lumière. Déboussolées par la perte de leur corps physique, corps qui représentait pour elles la seule réalité connue, elles ne comprennent pas qu'elles sont mortes et se croient prisonnières d'une sorte de mauvais rêve. En proie à des émotions intenses de peur, de panique et de désarroi, ces entités (nous appellerons ainsi ces êtres décédés qui n'ont pas compris qu'ils étaient morts) essaient à tout prix de retourner vers le monde matériel. Elles font tout pour capter l'attention des vivants, mais ceux-ci, à part quelques clairvoyants, ne les voient pas et passent à travers elles sans même s'en rendre compte. Ce phénomène est très bien montré dans le film « Ghost », un remarquable film sur la vie après la mort qui a été vu par des millions de personnes. Le sentiment d'insécurité et de solitude des entités désincarnées qui ne peuvent pas communiquer avec leurs proches grandit sans cesse. Ce sentiment peut les pousser à une colère nourrie par la peur de se trouver dans un monde immatériel qui les insécurise tellement qu'elles font l'expérience d'un véritable cauchemar. Obsédées par le désir d'avoir un corps de matière pour « revenir sur terre », certaines de ces entités cherchent alors à « squatter » un corps humain.

Si elles rencontrent un être psychiquement fragile, elles parviennent à se glisser dans son corps et à s'exprimer à travers lui. La malheureuse victime est alors « possédée » par une entité qu'elle subit mais dont elle ne parvient pas à se défaire. Ce phénomène de possession peut être permanent ou survenir par intermittence. Dans ce dernier cas, la personne possédée explique clairement, dans ses moments de lucidité, que quelqu'un prend soudain possession d'elle et lui fait dire ou faire des choses qu'elle ne peut absolument pas refuser parce qu'elle est totalement subjuguée.

Comme l'entité est souvent la proie d'émotions très intenses, elle va, lorsqu'elle possède la personne dont elle occupe le corps, crier, vociférer, tenir des propos violents, proférep des injures et donner des coups, allant parfois jusqu'à l'assassinat. De nombreux meurtriers disent : « Ce n'est pas moi qui ai tué. J'ai été pris par une force à laquelle je ne pouvais pas résister et qui m'a obligé à agir en dominant complètement ma propre volonté. » En fait, l'entité qui pousse ainsi à la folie celui dont elle a pris possession n'est pas méchante mais elle se trouve dans un tel désarroi qu'elle appelle au secours. Sa violence n'est qu'un cri de désespoir, un appel à l'aide.


LE TRAITEMENT « MATÉRIALISTE ».

Hélas, dans les pays occidentaux, la plupart des locaux de police et des hôpitaux psychiatriques ignorent tout de ce phénomène et traitent ces situations d'un point de vue purement matérialiste. On considère les possédés comme des fous dangereux et on les enferme en leur injectant de hautes doses de neuroleptiques qui les assomment pour quelques heures ou quelques jours. Quand ils se réveillent, ils sont dans un brouillard psychique et un mal-être physique tels qu'ils n'arrivent plus à retrouver leur lucidité. Empoisonnés par des drogues chimiques qui les coupent de leurs sensations, de leurs émotions et de leurs pensées personnelles, ils se sentent étrangers à eux-mêmes. C'est la schizophrénie sur ordonnance, la folie iatrogénique, c'est-à-dire créée par l'intervention médicale qui, au lieu de les aider, les enfonce toujours plus profondément dans la maladie psychiatrique ! Du coup, les entités qui les obsèdent accroissent leur emprise sur eux et les poussent à des manifestations de panique émotionnelle ou de violence qui justifient de nouvelles injections. Une spirale descendante vers l'enfer est mise en place et elle pourra durer des années, voire des dizaines d'années, jusqu'à la mort de la personne possédée qui ira, dans sa confusion, rejoindre le lot des entités désincarnées cherchant, dans une quête jamais satisfaite, à retrouver la sécurité d'un corps de matière.

Sachant que plus des deux tiers des personnes qui sont internées dans des hôpitaux et asiles psychiatriques sont des personnes possédées en permanence ou par intermittence, on peut mesurer l'importance de ce phénomène !

Ces personnes, dont la souffrance est intense, errent tristement dans les couloirs et les chambres des établissements psychiatriques où elles sont gardées par une armée d'infirmiers et de médecins. Elles reçoivent des quantités massives de médicaments neuroleptiques qui les abrutissent peu à peu et les transforment en zombies, en êtres qui ne font plus vraiment partie du royaume des vivants et pas encore complètement de celui des morts. Elles vivent entre deux mondes, dans une grisaille sordide, dans une torpeur léthargique que ni les médicaments chimiques ni les discussions avec les psychiatres ne peuvent guérir.

Le psychiatre R.D. Laing a exprimé cela par ces mots : "La personne emprisonnée, étiquetée comme malade, et spécifiquement comme « schizophrène », est rabaissée de son statut légal de personne responsable au rang de quelqu'un qui n'est plus en possession de sa propre définition de lui-même, incapable de garder ses propres possessions, exclu de l'exercice de sa liberté en ce qui concerne les gens qu'il rencontre et ce qu'il fait. Son temps ne lui appartient plus et l'espace qu'il occupe n'est plus de son choix. Après avoir subi un cérémonial de rabaissement appelé examen psychiatrique, il est dépourvu de ses droits civiques en étant emprisonné dans une institution totalitaire appelée "hôpital psychiatrique". Plus complètement, plus radicalement que n'importe où dans notre société, il est invalidé en tant qu'être humain. Les malades internés vivent entre deux mondes, dans une grisaille sordide, dans une torpeur léthargique que ni les médicaments chimiques ni les discussions avec les psychiatres ne peuvent guérir. Emmurés dans leurs camisoles de force neuroleptiques, ils attendent un miracle sans cesse repoussé à demain. Pourtant, au fond de leur cœur, nombre d'entre eux gardent une lueur d'espoir qui les maintient en vie. Ils pressentent, même s'ils sont incapables d'expliquer pourquoi, qu'il devrait être possible de les délivrer de leur enfer."


UNE GUÉRISON ?

En fait, leur guérison est tout à fait réalisable pour peu que l'on veuille bien sortir du cadre étroit de la psychiatrie matérialiste et s'intéresser aux concepts de la psychothérapie spirituelle qui s'occupe de ces phénomènes de possession en apportant les outils permettant la dépossession. Il existe notamment un pays dans le monde où l'on travaille avec succès et à grande échelle sur ces phénomènes, depuis plus d'un siècle. Il s'agit du Brésil, pays étonnant qui ne compte pas moins de quinze millions de spirites, c'est-à-dire de personnes qui utilisent les méthodes mises au point par le professeur français Allan Kardec, fondateur du mouvement spirite. En France, les idées de Kardec connurent tout d'abord un grand succès et des milliers de cercles spirites, pratiquant la communication avec les guides spirituels et les entités désincarnées, virent le jour. Puis, peu à peu, sous la pression des scientifiques matérialistes, les idées spirituelles furent tournées en dérision et le culte du « progrès scientifique » devint la religion dominante qui écrasa, en les traitant de superstitions ridicules, toutes les formes de recherche spirituelle. Le spiritisme fut pourchassé avec la même dureté qu'on voit s'exercer aujourd'hui contre les mouvements spirituels, qui, en étant traités de sectes ou de déviances sectaires, sont mis au ban de la société et persécutés de mille manières. Bientôt il n'y eut plus, en France, que quelques cercles spirites. Mais le spiritisme ne disparut pas pour autant. Il resta vivant en Angleterre où la guérison spirituelle est proposée comme un droit à tous les malades qui entrent dans un hôpital. Et c'est au Brésil qu'il trouva une terre extrêmement fertile pour y croître d'une manière extraordinaire. Ce pays n'avait pas de grandes industries pharmaceutiques ni vaccinales, comme la France. Une très grande tolérance religieuse y existait dès son origine puisque les colons portugais avaient laissé cohabiter, avec le catholicisme, des traditions africaines nombreuses, comme l'Umbanda et le Condomblé, sans inquisition ni chasse aux sorcières. Le spiritisme permettant de soigner des malades, et notamment des malades psychiatriques, avec succès et sans médicaments chimiques coûteux, son essor fut impressionnant et il existe aujourd'hui au Brésil des hôpitaux et des facultés de médecine qui enseignent les techniques spirites. Des dizaines de milliers de malades possédés sont dépossédés chaque année et les entités qui les harcelaient sont guidées vers les mondes de lumière. C'est un magnifique travail spirituel auquel j'ai assisté avec beaucoup d'émotion dans plusieurs villes du Brésil.


POSSESSION… DÉPOSSESSION…

En général, le travail de dépossession se fait avec un groupe de prière de quelques personnes assises en cercle qui commencent par demander de l'aide aux guides spirituels, puis élèvent la vibration du groupe par des chants et des prières jusqu'à ce qu'un des médiums présents entre en transe pour laisser passer à travers lui l'entité qui persécute le malade. Le passage de l'entité à travers le médium est souvent spectaculaire puisque, comme nous l'avons vu, ces entités sont la proie d'intenses émotions de peur, de colère ou de tristesse qui s'expriment par des cris stridents, des pleurs à fendre l'âme ou des gestes désordonnés qui traduisent un intense état d'anxiété. Les autres membres du groupe vont alors, avec amour et patience, entrer en conversation avec l'entité désincarnée pour lui expliquer qu'elle est morte. Ils vont l'inviter à cesser de posséder des individus terrestres pour gagner les mondes de lumière où l'attendent ses guides et les parents de sa famille qui sont déjà décédés. Voici le genre de dialogue qui se produit :

L'entité (E) ( avec des cris et des pleurs) : Je souffre, c'est terrible, je n'en peux plus ! Un membre du groupe (MG) : Nous sommes là pour t'aider. Comment t'appelles-tu ? E : Je m'appelle Carlos. Je ne comprends pas ce qui m'arrive, tout est si noir et si confus. Je dois faire un mauvais rêve ! MG : Non, pas du tout ! Tu es mort, tout simplement ! E : Comment ça, je suis mort ? Mais non, je ne suis pas mort, je suis là, je suis bien vivant ! MG : Oui, tu es vivant, mais tu as quitté le monde de la matière et tu n'as plus de corps. C'est pour cela que tu essaies de prendre le corps de cette personne que tu harcèles. E : Je ne vous crois pas. Être dans ce corps me fait du bien, ça soulage ma souffrance. MG : As-tu un parent qui soit mort ? E : Oui, ma grand-mère est morte quand j'avais huit ans. Je l'aimais beaucoup et je l'ai toujours regrettée. MG : Très bien. Tu vas maintenant penser très fortement à elle, faire le contact avec elle par le cœur. E (d'une voix plus douce) : Je ne sais pas faire cela ! Je n'y arriverai jamais. MG : Courage, nous te soutenons, pense à elle ! E (après un long silence) : Oh, mon Dieu, je la vois ! Elle est toute lumineuse et si belle, si rayonnante. Elle me tend les bras et m'appelle. Elle me dit de ne plus rester là en-bas mais de venir la rejoindre. Elle m'explique que je suis mort et que mon ignorance et ma terreur m'ont empêché jusqu'à présent de l'entendre et de la rejoindre. A côté d'elle, il y a des anges et des êtres de lumière. Leurs regards sont pleins d'amour et de sagesse. Comme c'est beau ! MG : Nous sommes très heureux d'avoir pu te montrer le chemin. Va en paix ! E (avec des pleurs de joie) : Merci, merci les amis. Vous êtes merveilleux, je vous suis reconnaissant à jamais ! Puis le groupe va formuler une prière de reconnaissance et clore la séance. Parfois l'entité va expliquer aussi pourquoi elle s'est attaquée à cette personne en particulier. Dans le remarquable livre de Divaldo Pereira Franco, « La guérison d'Esther », une situation de ce genre est expliquée en détail et permet de comprendre que rien n'arrive par hasard dans le monde.

Tout a un sens pour permettre l'évolution de chacun vers l'amour inconditionnel et la conscience spirituelle. Il faut souligner qu'un travail de dépossession de ce genre doit impérativement être suivi d'une éducation holistique de la personne délivrée pour qu'elle développe les outils lui permettant désormais de ne plus être la proie d'entités désincarnées. À défaut, les phénomènes de possession reviendront tôt ou tard. Les personnes qui se soumettent à des exorcismes pratiqués par des prêtres ou des thérapeutes sans rien changer à leurs habitudes ni rien apprendre pour mieux gérer leur vie n'obtiennent que des rémissions et non des guérisons réelles. La seule guérison qui soit authentique, complète et durable consiste à savoir gérer soi-même sa santé sur tous les plans et à tout moment. L'éducation holistique correspond à apprendre à vivre en harmonie avec ses quatre corps : bien s'occuper de son corps physique par une alimentation végétale, vivante et variée, s'abstenir d¹excitants artificiels comme le café, l'alcool, le sucre et le sel raffinés, les médicaments chimiques et la cigarette, pratiquer assez d'exercice physique, veiller à disposer d'assez de temps de sommeil, apprendre à gérer ses émotions, à se délivrer des croyances limitées du cerveau gauche et à cultiver les fonctions du cerveau droit en pratiquant la visualisation, la méditation et le voyage intérieur pour se relier à ses guides de lumière et recevoir leurs messages de sagesse.


LE RÔLE DES EMOTIONS

La gestion des émotions est l'un des outils fondamentaux pour ne plus être victime des entités désincarnées. En effet, une personne qui sait comment extérioriser ses émotions à travers son corps a la capacité de se déposséder instantanément. Elle est comme une maison qui dispose d'un paratonnerre. Si la foudre frappe l'antenne placée sur le toit, sa décharge électrique est dirigée et évacuée dans la terre par le fil de cuivre attaché à l'antenne. Si l'on imagine une antenne sur le toit qui ne serait pas reliée à la terre, la foudre ne va pas s'éliminer dans le sol mais va mettre le feu à la maison. Une personne qui a appris à faire circuler ses émotions à travers tous les muscles de son corps est comme une maison disposant d'un paratonnerre relié à la terre. Elle évacue aussitôt les charges émotionnelles qu'elle reçoit. Alors qu'une personne qui vit trop dans son intellect et refoule constamment ses émotions ne sait pas se connecter à la terre. Elle est privée de racines et peut être facilement possédée par une entité désincarnée. La puissance d'une telle entité vient du fait qu'elle vit dans une bulle d'une très haute intensité émotionnelle. Elle peut donc subjuguer une personne qui a peur des émotions fortes et ne sait pas comment les évacuer. En fait, le monde du bas astral, dans lequel se trouvent les entités désincarnées incapables de gagner le haut astral et les mondes de lumières, correspond à cette atmosphère qui entoure la terre et qui contient toutes les émotions négatives de l'humanité : jugements, peurs, colères, rages, haines, furies, jalousies, rancunes, rancœurs, ressentiments, frustrations, etc. Toutes ces émotions sont le fruit de pensées limitées, ces pensées qui ne viennent pas de l'âme et des mondes de lumières mais ont été créées par des humains ayant perdu leur conscience spirituelle.

Mon épouse, Johanne Razanamahay, a magnifiquement décrit, dans ses livres « Debout les Petits Dieux », « La Mort n'est jamais un Accident » et « Au cœur de la Conscience Totale », la différence entre les idées-pensées spontanées-jaillissantes qui viennent de l'âme, et les idées-pensées torturées-stagnantes qui viennent des croyances socio-éducatives du cerveau gauche. L'épais brouillard du bas astral est donc constitué de toutes les émotions négatives et de toutes les pensées dépourvues de lumière et d'amour qui tissent la trame de la compétition, des hiérarchies, des jeux de pouvoir, des guerres, des maladies, de la solitude et de la mort, tous ces fléaux qui empoisonnent l'humanité depuis qu'elle a oublié son origine divine, depuis que les êtres humains ont sombré dans l'illusion de croire qu'ils étaient des corps physiques fabriquant des émotions et des pensées alors qu'ils sont des êtres spirituels créant, pour venir sur terre, un corps mental, puis un corps émotionnel et enfin un corps de matière. Le matérialisme, cette sorte de religion qui ne croit qu'au monde de la matière et enseigne que la mort est la fin de la vie, rend ses adeptes totalement ignorants des réalités spirituelles. Du coup, ils ne savent pas comment traverser le bas astral pour gagner le haut astral, ce plan où les anges et les guides spirituels accueillent ceux qui ont quitté leur corps physique et viennent faire le point sur leurs expériences de vie.

Le monde du bas astral contient de véritables monstres qui se nourrissent des émotions négatives des êtres humains. Ils se font aider, dans leur vampirisme démoniaque, par tous les individus qu'ils parviennent à infecter par des croyances matérialistes. Ils manipulent sans relâche les émotions négatives pour maintenir l'humanité dans un véritable esclavage mental et émotionnel. Pour assurer leur pouvoir, ils ont besoin que la confusion et le chaos règnent. Ils sont donc à l'origine des sociétés secrètes, des financements occultes des partis politiques, des financiers qui cherchent à imposer un gouvernement mondial, des militaires qui veulent tout régler par les armes, des scientifiques qui ont vendu leur âme aux industriels, des experts de tous ordres qui fonctionnent avec des idées intellectuelles privées de toute dimension spirituelle, des parents et professeurs qui enseignent aux enfants comment étouffer toutes leurs émotions pour devenir des robots, contrôlés par la raison et l'obéissance aux dogmes sociaux.


COMMENT EXPRIMER SES ÉMOTIONS ?

Dès qu'un être humain perd sa connexion avec son âme, n'entend plus chanter dans son cœur la voix du divin, obéit aux autres plutôt qu'à son intuition profonde, croit aux idées matérialistes et n'extériorise plus ses émotions, il devient l'esclave des monstres du bas astral. Comme vous pouvez ainsi le constater, le phénomène de la possession est beaucoup plus vaste que le seul cas des malades mentaux ! Il est vraiment le problème numéro un de l'humanité actuelle puisque tous les autres problèmes ne sont que la conséquence de cet esclavage encore méconnu du grand public. Le propre de toutes les personnes infectées par les pensées limitées et les émotions refoulées du bas astral est qu'elles sont sûres d'avoir raison !

Elles vivent dans le malheur, le mal-être, le stress, les conflits et les maladies, mais elles sont persuadées de savoir ce qui est bon pour tous et veulent constamment convaincre tous ceux qu'elles rencontrent de vivre selon leurs normes et leurs échelles de valeur ! Plus elles sont ignorantes des réalités spirituelles, plus elles sont intolérantes et cherchent à imposer leur loi à tous. Ce sont elles qui manielt la « peur des sectes » et pourchassent tous ceux qui ont une quête spirituelle ou s'intéressent aux médecines naturelles. Ce sont elles qui, par médias interposés, agitent les émotions des foules pour que tous vivent sans cesse dans un tourbillon de peur, de jalousie et de haine. Ce sont elles qui désignent régulièrement des « boucs émissaires » pour entretenir la colère du public. Ce sont elles qui choisissent de présenter seulement des informations négatives sur ce qui se passe dans le monde d'aujourd'hui afin de maintenir une vision dramatique et pessimiste de la vie sur terre. Ces personnes ne sont pas conscientes d'être au service des monstres du bas astral. Au contraire, elles sont persuadées d'agir pour le bien de l'humanité !

Lorsqu'un individu a appris à extérioriser ses émotions à travers des gestes, des grimaces et des sons, hors de la vue d'autres personnes pouvant penser qu'il est fou, il pourra retrouver le chemin du Royaume des Cieux qui, comme l'a dit Jésus, est réservé à ceux qui « peuvent redevenir des enfants. » Les tout petits-enfants sont nos professeurs de gestion émotionnelle. Dès qu'ils ressentent une émotion, ils la font sortir de leur corps par une gestuelle naturelle non contrôlée par l'intellect. Les animaux, eux aussi, nous montrent comment ne pas refouler ses émotions mais les exprimer aussitôt. Hélas, au lieu de les considérer comme des professeurs de vie naturelle et instinctive, nous les enfermons dans ces camps de concentration pour animaux qui s'appellent élevages industriels, nous les torturons dans les laboratoires au nom de la science pharmaceutique et nous les maltraitons de mille manières, inhumaines et sordides !


L'EXEMPLE DES CHAMANES

Dans les peuples des anciennes cultures, ces peuples chamaniques qui n'ont pas développé de civilisations conquérantes et destructrices mais qui ont toujours vécu en harmonie avec la nature, tout adulte peut, lorsqu'il en ressent le besoin, redevenir un enfant qui rit, pleure, crie, hurle, gesticule et vide ainsi ses émotions sans jamais chercher à les déverser sur autrui. Dans les pays dits civilisés, où règne une intense répression émotionnelle, personne ne peut se comporter comme un enfant en public s'il a dépassé l'âge d'entrer à l'école primaire. On le prendrait aussitôt pour un fou dangereux ! Il s'agit donc, dans les pays réprimés émotionnellement, de se cacher pour défouler ses émotions. On pourra ainsi bénéficier des trésors de la folie douce qui consiste à être civilisé en public mais fou en privé, pour ne pas garder en soi ces émotions négatives qui font de nous des proies faciles pour les entités et les monstres du bas astral. Dans le « Manuel des émotions » que nous avons écrit, mon épouse Johanne Razanamahay et moi, nous montrons l'immense importance de l'apprentissage de cette gestion des émotions et les effets bénéfiques puissants qu'elle procure à nos quatre corps.

Je me souviens d'une femme qui avait souffert d'avoir un mari alcoolique. Pendant des années, elle avait tout tenté pour essayer de sortir son époux de l'emprise de l'alcool, mais sans aucun succès. Il mourut donc de son alcoolisme. Le lendemain de son enterrement, cette femme, en passant devant un café, se sentit irrésistiblement attirée à y pénétrer et elle commanda, à son corps défendant, un verre d'alcool ! À sa grande stupéfaction, elle ne put s'empêcher d'en commander un second, puis un troisième. Affolée, elle sortit en titubant, en proie à une terrible confusion mentale. Comme elle n'avait jamais été attirée par la boisson auparavant, elle crut qu'elle devenait folle. Ce phénomène d'une force irrésistible qui soudain subjuguait sa volonté et la poussait à boire se reproduisit dans les jours suivants. Elle réalisa alors que cela devait être en relation avec son mari décédé et vint me consulter. Je lui confirmai ce qu'elle avait pressenti : elle était par moment possédée par son mari qui, manifestement, était resté prisonnier du bas astral. Je lui montrai comment exorciser cette possession en faisant d'abord sortir de son corps ses émotions et celles de son mari puis en parlant, avec son cœur, à son ex-compagnon, pour l'inciter à gagner les mondes de lumière plutôt que de pousser sa femme vers les bouteilles d'alcool qui lui manquaient tant ! Comme il adorait, dans sa jeunesse, la danse de salon et la chansonnette, elle lui parla en dansant et en chantant, pour toucher son cœur. Lorsqu'elle sentit, à quelques reprises encore, la force psychique de son mari décédé la pousser vers l'alcool, elle se mit à danser avec intensité pour se délivrer de toute peur et de toute possession et put ainsi reprendre le contrôle de ses pensées et de son corps. Un jour, elle sentit que son mari avait enfin compris son message et partait, le cœur léger, vers les mondes spirituels. Il était délivré et elle n'eût plus jamais cette attraction rationnellement inexplicable pour les boissons alcoolisées.

Je me souviens d'un autre cas spectaculaire : une jeune femme était internée en asile psychiatrique depuis plusieurs années. Elle avait des crises de violence qui la rendaient incapable de mener une vie sociale. Son mari fit appel à mon épouse et celle-ci accepta de s'occuper d'elle. Avec l'aide de ses guides spirituels, elle put comprendre que la folie avait commencé juste après la mort de la mère de cette jeune femme et que cette mère décédée, au lieu de monter vers les mondes de lumière, s'accrochait à sa fille sans comprendre ce qui lui arrivait. Avec patience, elle expliqua la situation à la jeune femme et ensemble elles dansèrent, chantèrent et envoyèrent des prières à cette mère pour qu'elle cesse de harceler sa fille et monte vers les mondes spirituels. Ce travail intense fut poursuivi pendant plusieurs jours et bientôt la mère accepta de partir vers le ciel. La jeune fille fut ainsi délivrée entièrement de cette possession dramatique et put recommencer une vie normale.


POSSESSION ET FOLIE

Il existe un autre phénomène de possession. Si une personne, dans l'une de ses existences, vit une émotion très intense de désespoir, d'impuissance ou de solitude, elle peut avoir une partie d'elle-même qui reste prisonnière de cette émotion. Mon épouse, Johanne Razanamahay, dans ses livres « La Mort n'est jamais un Accident » et « Au Cœur de la Conscience Totale » a baptisé ces parties sous le terme de Sous-Personnalités Psycho-Actives, ce que nous abrégeons par le sigle SPPA.

Ainsi, une jeune femme très intellectuelle me disait avoir une peur terrible de la folie en expliquant :

L'idée de perdre la tête et de ne plus pouvoir me contrôler me terrorise. Je ne comprends pas d'où vient cette peur car il n'y a aucun fou dans ma famille et je ne suis jamais allée dans un hôpital psychiatrique !

Toutes les peurs, lui répondis-je, sont des mémoires. Certaines viennent de l'enfance, d'autres de vies antérieures. C'est très probablement votre cas.

Vous voulez dire que j'ai été folle ? s'exclama-t-elle. Cette idée me semble insensée. Je n'ai jamais été folle !

Comment pouvez-vous être si sûre de vous ? Plutôt que de rejeter tout ce qui n'entre pas dans le cadre de vos croyances intellectuelles, pourquoi ne pas aller voir vous-mêmes, en détente profonde, ce qui est à l'origine de votre peur ? Cela vaudrait mieux, en tout cas, que de continuer à vivre avec cette peur qui vous ronge et pourrait, si vous ne faites rien, finir par se réaliser ! Car les peurs que l'on refoule sans cesse dans l'inconscient peuvent finir, après des mois ou des années, par sortir au grand jour pour vous dominer complètement ou créer toutes sortes de maladies dans votre corps.

Alors là, docteur, vous me faites vraiment peur ! dit-elle en tremblant d'un mélange de crainte et d'intérêt qui dessinait un sourire sur ses lèvres et faisait frissonner son corps.

À mon avis, ajoutai-je, vous courez beaucoup plus de risques en gardant cette peur en vous sans oser l'aborder qu'en plongeant dans votre mémoire pour l'exorciser et vous en libérer !

Laissez-moi un temps de réflexion, dit-elle. Je vous contacterai quand je serai prête.

J'admirai cet état d'esprit souverain qui veut agir quand il le sent et ne fut pas étonné lorsqu'elle me demanda un rendez-vous quelques jours plus tard. Après quelques exercices de relaxation profonde du corps, je l'invitai tout d'abord à monter vers les mondes subtils pour y ressentir la lumière et l'amour divin (j'explique ce processus en détail dans mon livre « L'Épée de Lumière. ») Une fois dotée de l'épée de lumière qui est le symbole de la puissance de l'âme, elle plongea dans le tunnel du temps pour comprendre l'origine de sa peur de la folie. Voici son récit, avec mes interventions :

J'avance dans ce tunnel noir en suivant mon épée de lumière pointée devant moi. Je vole derrière elle comme superman, ou plutôt superwoman ! J'arrive bientôt devant une jeune femme. Mon Dieu, quelle horreur, elle est complètement folle et se frappe la tête contre les murs en vociférant. C'est affreux !

Ne vous laissez pas submerger par son émotion ! Regardez dans ses yeux pour la comprendre.

Je vois sa peine, sa détresse, sa solitude. Cela me fend le cœur. Comme elle souffre !

Regardez maintenant le film de sa vie pour voir comment elle en est arrivée là.

Je la vois quelques années plus tôt. Elle est ravissante et ses longs cheveux blonds flottent dans le vent. Elle porte une longue robe de lin et cueille dans la forêt des plantes médicinales pour préparer des remèdes.

A quelle époque vit-elle ?

A la fin du dix-huitième siècle. Elle soigne les habitants de sa contrée avec des plantes et aussi des massages et des prières. Mais les autorités religieuses et médicales ne l'aiment pas, car elle obtient des guérisons là où ils échouent. Elle n'a que du mépris pour les médecins et les prêtres qu'elle considère comme des marchands ayant vendu leur âme au diable. Ils lui interdisent de soigner mais elle continue. Alors, dans leur rage, ils la déclarent folle et la font interner dans un asile d'aliénés. Elle souffre intensément de cette traîtrise et la colère s'accumule en elle au point de lui faire perdre la raison. C'est affreux, horrible !

Ne vous laissez pas envahir par ses émotions. Observez ce qui se passe….

Elle hurle et déchire ses habits. Je vois des entités fantomatiques prendre possession de son corps et la faire agir comme une folle qui bave de rage, veut frapper tous ceux qu'elle voit et se donne des coups à elle-même. Lorsqu'elle est épuisée, elle retrouve ses esprits pendant quelques instants mais son dégoût d'elle-même est tel qu'elle ne peut pas s'accepter et les entités reviennent, dans une ronde de démence qui la plonge dans des abîmes sans fonds.

Il est temps de lui venir en aide. Imaginez-vous en train de hurler comme elle pour que votre vibration soit proche de la sienne et qu'elle puisse ainsi faire attention à vous.

Oui, je mets tout mon amour à me comporter comme elle, à lui montrer que je suis avec elle dans sa folie. Ça y est, elle me voit et se calme au contact de mon regard. Maintenant elle pleure. Je la prends dans mes bras. Comme c'est bon ! Elle me dit : - Je t'attendais depuis si longtemps ! Je lui réponds : - Je suis là et je ne te quitterai plus jamais ! Nous nous serrons l'une contre l'autre et des flots de tendresse au goût de miel coulent entre nous. Puis nous partons ensemble jouer dans les champs, courir et danser dans la nature. Nous sommes libres, libres !


LE « CHANNELING »

Aux Etats-Unis, Edith Fiore, médecin auteur d'un best-seller sur la thérapie des vies antérieures, s'est penchée sur le problème de la possession et son livre « Les Esprits Possessifs » contient de nombreuses histoires de ce genre. Aller délivrer les parties de nous-mêmes, les SPPA, qui sont restées prisonnières du bas-astral est un travail personnel d'une immense valeur. Nous sommes les meilleurs thérapeutes qui soient pour nous-mêmes ! Personne ne peut, mieux que nous, comprendre la souffrance de nos SPPA, personne ne peut mieux les aider à se délivrer de leurs limitations et rejoindre notre âme dans la lumière et la conscience de l'unité. Nous faisons aussi ce travail dans le cadre de la thérapie par la danse de l¹Ego CONSCIENT que nous avons créé, Johanne et moi, et pratiquons avec des groupes dans plusieurs pays. Il s'agit, dans la sécurité d'un cercle de participants entraînés, à soutenir celui qui est au centre, de laisser s'exprimer toutes nos SPPA pour les délivrer des jugements que nous avons portés sur elles. De vrais miracles, des libérations et des guérisons étonnantes se produisent lorsque la conscience et l'amour remplacent l'ignorance et le non-amour.

Nous travaillons aussi avec nos guides spirituels, par le procédé du « channeling », également appelé communication spirituelle, qui consiste à se laisser posséder, non par une entité du bas astral, mais par un guide de lumière ou un ange afin de transmettre des informations sur les causes des maux du présent, que ces causes soient dans le passé récent, dans l'enfance ou dans des vies antérieures. Les guides et les anges présentent aussi les moyens permettant de se guérir complètement et de vivre désormais dans la pleine conscience. Nous avons, l'un et l'autre, écrit des livres en collaboration avec nos guides spirituels et avec des êtres qui ont quitté le plan terrestre. Ainsi Johanne a pu travailler en communication spirituelle avec son frère, assassiné en 1992, pour écrire « La Mort n'est jamais un Accident » et « Au cœur de la Conscience Totale ». J'ai reçu le récit d'une jeune fille de 17 ans morte dans un accident de la circulation et qui découvre avec émerveillement les mondes de lumière. Je l'ai publié dans « Laetitia » dont le sous-titre affirme « Je ne suis pas morte, je vis dans la lumière ! » Nous enseignons aussi à nos élèves et stagiaires comment se libérer de l'emprise du mental limité et du bas astral pour communiquer eux-mêmes directement avec les mondes de lumière. C'est un travail qui donne des fruits de souveraineté au goût de paradis !


POSSESSION ET « FORMES-PENSEES »

Outre les phénomènes de possession décrits ci-dessus, il faut signaler une autre forme de possession : celle des personnes prisonnières de formes-pensées dont elles ne peuvent se libérer. Si votre père ou votre mère vous ont répété sur tous les tons et pendant des années que vous étiez bon à rien, cette forme-pensée peut vous empoisonner la vie jusqu'à ce que vous fassiez le travail émotionnel et mental de vous en délivrer. Pour faciliter cela, nous avons inventé, Johanne et moi, un jeu de cartes, les « cartes de Transformation Intérieure » qui permettent de pratiquer une sorte de mini-psychothérapie pour aller voir les SPPA bloquées en nous ainsi que les émotions et les formes-pensées qui les font souffrir. Il est alors aisé de leur donner, en visualisation, ce qui leur a manqué et de les envoyer dans la lumière. Les cartes permettent non seulement de pratiquer un travail d'auto-guérison des SPPA immobilisées dans notre inconscient mais aussi de venir en aide à autrui sans le rendre dépendant du thérapeute. Ces cartes sont porteuses d'un puissant message d'espoir car, comme de plus en plus de personnes comprennent l'importance d'un travail de guérison personnelle et s'y adonnent avec détermination, la gigantesque forme-pensée (aussi appelée egrégore) qu'est le bas-astral est en train de perdre son pouvoir et de se dissoudre. Peu à peu, la peur, l'ignorance spirituelle, l'amour du pouvoir despotique et tous les mécanismes par lesquels des êtres cherchent à en contrôler d'autres sont inéluctablement condamnés à disparaître pour faire place à la paix, à la sagesse, au pouvoir de l'amour et à la collaboration dans le respect des différences.


VERS LE TROISIEME MILLENAIRE

En ce troisième millénaire qui verra l'avènement d'une société planétaire, fraternelle et spirituelle, ouvrons la porte à toutes les ressources d'une psychothérapie spirituelle qui nous délivre des prisons du matérialisme et nous permette la guérison de toutes les formes de possession. De plus en plus de thérapeutes, dans tous les pays du monde, sortent du cadre limité de l'intellect et des thérapies qui ne s'occupent que du corps physique pour retrouver les techniques de guérison spirituelle qu'utilisaient les chamanes du passé, ces chamanes dont je décris les concepts et les techniques dans « L'Univers des Chamanes » ( manuscrit encore non publié mais disponible en photocopie).

Les chamanes du passé et du présent collaborent sans cesse avec leurs alliés spirituels pour délivrer les êtres humains de leurs maux et leur enseigner un art de vivre qui intègre le physique, l'émotionnel, le mental et le spirituel dans une danse lumineuse et joyeuse, une danse délivrée des luttes et des peurs qu'avait engendré notre perte de connexion avec le divin qui est en nous. En sortant des dépendances, de la peur et de la soumission au pouvoir d'autrui, nous retrouvons notre souveraineté d'enfants divins du Père Céleste et de la Mère Cosmique. Nous nous dépossédons des mémoires de souffrances et de limitations du passé et retrouvons notre joie étincelante d'êtres immortels, infinis, éternels et universels !

Le Dr Tal Schaller est un des pionniers de la médecine holistique européenne. Il a fondé les éditions Vivez Soleil, et est auteur d'une vingtaine de livres devenus des classiques de la médecine préventive et de l'éducation de la santé.

Johanne Razanamahay, son épouse, enseigne les lois élémentaires de la santé holistique. Elle est auteur de "Debout les Petits Dieux" (éd. Vivez Soleil) et de plusieurs autres ouvrages, et dirige avec son époux l'Institut de Recherches et d'Applications en Santé Globale du domaine de Faujas dans la Drôme.

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